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Un rencontre (Privée Zach Keiner)

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Vincent Valentine
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MessageSujet: Un rencontre (Privée Zach Keiner) Un rencontre (Privée Zach Keiner) EmptyLun 4 Mar - 21:54

De puis la mort de ma femme j'ai d'eu abandonnée la construction de la maison. J'ai changer complètement de vie. Plus d'amusement que du travail. Mais solitude est toujours là. Mais bon, je dois faire ma vie. elle continue. Je suis vivant (s'en ai rendus compte après plusieurs séances chez un psychothérapeute).

Alors je me suis installée dans un tout autres décors. Plus de richesse.

Un cartier mal famé. Certain diraient que en faite ça me ressemble d'autres dirons que je suis encore dépressif et que je devrais arrêter de me morfondre certes j'avais perdus ma famille mais m'installée dans cette endroit ne me ressemble pas.

Et bien je leur dit qu'ils aillent au Diable ! Je fais ma vie que cela plaise où non. Je dois vivre avec mes blessures !
Mes parents étaient outré de la où je vivais. Mais bon cela mes égales. Je ne suis pas là pour plaire à quelqu'un. Si je dois plaire à quelqu'un je dirais que c'est à moi et moi seul de me plaire.

"Égoïste !"
Ce mot me donne un violant mal de crane et pourtant elle retentissait comme une grande cloche que l'on fait sonnée et que moi je me trouve dans la cloche.
Rrah ! Je n'aime pas ça. Me sentir encore enchaîner de chaîne épaisse. Comme si j'étais prisonnier de mon malheur.

À cette penser j’attrape une bouteille de rhume et m'en remplis un verre avec un glaçons. Ce glaçon, seul au milieu d'une piscine de rhume. Lui au moins sait qu'il va fondre est se noyer dans l'alcool. Un peu ce que je fais en faite.

Mais qu'est ce qui m'arrive ! Je me compare à un GLAÇON ! Je suis un idiot.
Je divague.Pour me rafraîchir les idées je vais me mettre sur mon balcon.
Mon appartement se trouve au premier étage d'un vieux immeuble dans lequel on entend les voisins comme si ils étaient dans mon salon. Pas très discret ! Tellement pas discret que je peut les entendre entrain de repeuplé la planète.

Enfin c'est mon quotidiens et je m'en contente.

Alors que je suis sur mon balcon entrain de siroté mon rhume je me rendis compte qu'en faite il faisait nuit. Je regarde mon horloge. En effet il était minuit passé. Les réverbères illumine la rue de leur faible lueur. Une lumière orange pas très chaleureuse.
Mais je remarqua quelque chose de pas normale. Enfin quelque chose c'est plus tôt quelqu'un de pas très normale. C'était un jeune homme fort jeune je pense de par ses trait fin, au cheveux blanc qui était écrouler sur le trottoir de ma rue.

Au départ je me suis dit que cela devait être la fin d'un fiesta un peu arroser. Mais bon nous étions aujourd'hui Mercredi. Qui ferais une fête à cette heure en plein milieu d'une semaine de cours ? Des inconscients qui veulent s'éclater.

Mon coeur d'homme me dit de le laisser gésir sur le sol tant pis pour lui mais mon coeur de professeur me dit de le prendre et le ramené chez moi pour qu'il reprenne du poile de la bête. Pas que je veuille êtres gentils mais je sais que si c'était un de mes élèves se genre d'absence je ne le supporterais pas. Alors je pose mon verre d'alcool sur la table basse et sort pour aller le chercher.

Je passe dans la porte quand tout à coup il pleut ! Et zut ! Pas envi d'aller cherché mon manteau. Alors je vais vite. Je cours pour prendre le jeune homme. Je le pris comme un sac à patate et l'amène dans mon appartement en faisant attention à ne pas qu'il se cogne.

Quand nous fûmes enfin dans mon appartement, je le dépose doucement sur mon canapé. J'avais vus juste. Il été jeune.
Alors que je lui enlève ses vêtement mouiller pour ne pas ce qu'il s'attrape la mort je me rendis compte qu'il avait de la fièvre. Je prend deux couverture et les dépose sur lui après l'avoir mis en sous-vêtement.
Bon ben maintenant que j'avais d'autres chose à penser j'eu eu envi de travailler. Oui à cette heure là !
Alors que je prend ma liste d'élève je remarque le visage d'un élève qui ressemblais trait pour trait à mon chère chat ramassé dans la sue. Son nom? "Zach Keiner".

Et bien ça promet ! Je venais de ramener chez moi un de mes élèves à qui demain je vais leur faire cours pour la première fois depuis la perte de ma famille !
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MessageSujet: Re: Un rencontre (Privée Zach Keiner) Un rencontre (Privée Zach Keiner) EmptyLun 4 Mar - 23:44

  • Après être sorti de la mairie, je me rends compte que, dorénavant, je n'ai nul part où aller. Que faire ? Depuis mon ancien domicile, j'avais réussi à m'inscrire à un lycée dans les environs. Mais, maintenant que je n'ai plus rien. Qui me guiderait jusqu'à lui ? Enfin, le plus important, pour le moment, ne sont pas mes études. Je lève les yeux vers le ciel ; Le temps se gâte. De sombres nuages arrivent au loin. Je peux dire que, ce soir, je passerai une très mauvaise nuit. Il allait pleuvoir. Je le sentais bien. Le temps était humide et froid. Eh oui, l'hiver est bel et bien là. Fort heureusement, il ne neigeait pas. Du moins, pas encore. En partant de chez moi, je n'avais pas eu le temps de prendre assez pour me couvrir. Je ne pensais pas aller si loin. A vrai dire, j'ignorais même que je me retrouverai ici en fin de journée. Mon argent ? Je l'avais dépensé pour le trajet. Et je ne sais à quelle question je dois répondre en ce moment ; Où dormir ? Ou plutôt que manger ? Mon ventre me fait entendre qu'il a faim. J'erre dans les rues, espérant trouver un endroit où je pourrai me nourrir pour pas cher. Je n'ai plus assez pour pouvoir me faire héberger. Et après ? Une fois que j'aurai un toit, le ventre remplit et un lycée où étudier, que ferai-je ? Je n'ai pas d'argent pour me payer une année entière. Il faut que j'envisage le fait de trouver un travail à mi-temps. En espérant avoir le temps de faire mes devoirs.

    Je m'avance. La nuit tombe. Peu à peu, les rideaux des magasins se baissent. A l'exception d'une sorte de bar. De l'extérieur, il ne semble pas très accueillant. Mais en m'approchant, je vois que le gérant recherche un employé. Le ville semble tout de même être assez petite. Je me décide à entrer. En poussant la porte, je sens l'odeur de pâtisserie me chatouiller les narines. Alors que mon ventre cri famine, je m'avance jusqu'au comptoir et, en évitant de baver devant les multiples gâteaux, je commande quelque chose avec le peu d'argent que j'ai. S'ensuit un dialogue avec le barman si l'on peut dire. Il s'agit en fait du gérant. Malgré sa carrure plutôt imposante, il émane une douce atmosphère. Comme je m'y attendais, il me pose des questions au sujet de ma venue, car je suis nouveau. Je devine alors que son café doit être fréquenté par pas mal de monde. Mais à cette heure-ci, il est presque vide. Il m'offre un chocolat. Il a du sentir le trajet que j'ai enduré jusqu'ici. Il a fini par s'excuser au sujet de ses questions. L'habitude, dit-il. Son sourire était bienveillant. Cela me faisait du bien, je l'avoue. Mais pas le temps de bavarder. Il me demande si j'ai un endroit où dormir. Je lui réponds que oui. Mon regard fuyant a dû lui mettre la puce à l'oreille. Et j'ai fini par lui demander le poste. Il a accepté de me prendre en fonction de mon futur emploi du temps. Il avait des filles à garder ; Des jumelles. Et sa femme, qui l'aidait comme elle pouvait, avait besoin d'aide à la maison. Je bois mon chocolat chaud avant de me rendre compte que, malgré ce que j'avale, je ne sentais qu'une horrible douleur dans la gorge. Irritée ? Je ne sais pas. Mais mon cou n'avait pas été protégé depuis mon arrivée. Je pense avoir attrapé froid.

    Une heure plus tard, je quitte le café à contre-coeur. Le gérant semble bien m'aimer. Et moi aussi à vrai dire. Je me retrouve dans le froid de la nuit. Cette dernière été tombée si rapidement. Et maintenant ? me dis-je. Je m'avance. Encore, et encore. Je cherche un endroit chaud. Ou du moins, à l'abris du vent glacé. Je veux juste me protéger. Je ne sais même plus où je vais. Je tousse. Ma gorge me fait de plus en plus mal. Même lorsque je respire. Je remonte les épaules en me frottant les bras puis les mains. Il fait si froid. Je suis dehors depuis quelques heures. Je ne sens plus mes extrémités. Mes jambes me guident, mais je ne les contrôle plus. Je vois de plus en plus flou. J'arrive dans un quartier sombre. On m'avait parlé de cet endroit plus communément appelé Les Quartiers Malfamés. Mais qu'importe l'endroit où je suis si je ne me rends pas compte d'où je vais ? Les réverbères commencent à se faire rare. Ils ne sont, à mes yeux, que des sortes de lucioles qui m'éclairent maintenant. Je m'écroule au sol. Ma tête cogne les trottoirs alors que mes jambes ne me portent plus.

    Quelle heure est-il ? Mon portable n'a plus de batterie. Je ne peux plus bouger. Ah ? Il me semble avoir senti quelque chose. Une goutte ? Oui, c'en est bien une. S'ensuit d'une autre, et une autre. J'entends au loin le clapotis de la pluie tombant au sol, créant des flaques d'eau fraîches. J'ai si froid. Et en même temps, je ne sens rien. Ma gorge me brûle de plus en plus. Mais j'ai l'impression que la douleur me quitte. Ma vision devient de plus en plus floue. Je ferme peu à peu les yeux. Je suis si fatigué.

    J'entends des bruits de pas. Enfin, cela y ressemble. Depuis combien de temps suis-je ici ? Soudain, j'ai l'impression de voler. Du moins, je ne touche plus le sol. Je voudrai paniquer. Je voudrai me débattre. Vais-je mourir ? Le temps change. J'ai les yeux clos, je suis inconscient mais j'entends des bruits autour de moi. Il y a de l'agitation. Serait-ce une aide ? J'espère du fond du coeur qu'il s'agit du gérant qui m'a retrouvé. Mais, je doute de cela. C'est juste la seule personne en qui j'ai un minimum de confiance ici. Ou plutôt, que je connaisse. J'ai l'impression d'avoir plus chaud. Mais je me sens mouillé de partout. La pluie a du me tremper de la tête au pied. Ma gorge me brûle à nouveau. Soudain, j'ai l'impression qu'une présence est à mes côtés. Une présence chaleureuse. Enfin, qui me procure cette sensation. J'essaie d'ouvrir un oeil. En vain. On m'allonge. Comme c'est confortable. Mais je me sens de trop.

    Bien plus tard, je finis par ouvrir un oeil. Doucement. Avec difficulté. Je ne peux pas parler. Ma bouche est totalement sèche, tout comme mes lèvres. Et ma gorge me fait un mal de chien ! Je roule légèrement sur le côté afin de tousser. Je tousse comme si je crachais mes poumons. Cela m'irrite encore plus la gorge. La tête me tourne. J'arrive à voir ce qui m'entoure ; Des meubles, beaucoup de meubles. Je fronce les sourcils. Où suis-je ? J'essaie de me relever. En vain. Je retombe directement sur mon lit. Enfin, ce qui semble être un lit. Je sens alors des draps me réchauffer le corps. Le corps ? Mais, je suis nu ! Du moins, en sous vêtement. Mais quelqu'un a quand même osé me déshabiller ! Je rougis violemment à la penser d'un bel homme me déshabillant. La fièvre me faisait penser des choses absurdes.
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MessageSujet: Re: Un rencontre (Privée Zach Keiner) Un rencontre (Privée Zach Keiner) EmptyMar 5 Mar - 15:06

Après avoir fait cette découverte je me suis assis devant ma table basse juste à coter de lui. Des fois je regardait son état. Mais bon le sommeil me gagne. Mes yeux me brûle. Alors que je me lève pour aller me coucher se dernier se réveille. Je ne dit rien, je ne bouge pas afin qu'il ne se rende pas compte que je suis là. Comme ça je fais une surprises fracassante. Et oui je suis sadique. Je remarque qu'il regarde en dessous de ça couette pour se rendre compte que en effet il était en sous-vêtement.Ces affaire été mouiller j'allais quand même pas le laisser dormir avec ! Pour avoir encore un mort sur la conscience ? Je m'en passerais.
Il rougis follement ! C'est rien d'êtres dénudés par un autres homme. Que les jeunes son prude de nos jours. Malgré tout je le trouvait mignon. Je me tourne vers lui et lui dit avec mon accent fort prononcer d'américain :
« Hello sweatheart ! How are you ? »

Mes habitude revienne. Je parle anglais quand je suis chez moi. Même si je pense qu'il va avoir du mal à réfléchir avec une fièvre de cheval.

J’entends une gargouillement. Il est vrais que quand je l'ai déshabiller il avait la peau sur les os. Je me lève pour me diriger vers la cuisine j'attrape une brique de soupe que je fais chauffé dans un bol et le lui amène avec une cuillère. C'est pas grand chose mais au moins ça le réchauffera. Et oui je suis un professeur qui s'occupe de ses élèves avec beaucoup d'attention. Je tiens à mon boulot. Je le lui pose sur la table et lui dit :
« Mange sinon tu vas jamais grandir. »
Un peu de sarcasme ne fais pas de mal à une mouche. Au passage je luis change le gant de toilette qu'il avait sur le front. J'approche mon front contre le sien. Il avait encore de la fièvre. Je le remouille a l'eau glacé et le repose sur son front.

Puis je repart dans la salle de bain afin d'attraper ma boite à pharmacie pour trouver des médicaments pour la grippe. Car on pouvait facilement remarquer que c'était une grippe qu'il me faisait le swaetheart. Je les déposes à coter du bol.
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MessageSujet: Re: Un rencontre (Privée Zach Keiner) Un rencontre (Privée Zach Keiner) EmptyMar 5 Mar - 15:38

  • Me relevant légèrement, j'essaie de me concentrer sur ce qui m'entoure. Mais je me sens partir. A vrai dire, j'ai l'impression d'être à la fois dans la réalité et dans un rêve. Serait-ce la fièvre ? Fort possible. Je passe lentement ma main sur mon front, la laissant glisser jusque dans mes cheveux. J'ai à la fois chaud et froid. Quelle sensation étrange. Je pousse un soupire suivit d'un grognement. J'avais oublié ma gorge. Avec cette douleur, impossible de me nourrir. Mon bras était tout engourdi, mais je pouvais sentir quelque chose sur mon front. Un gant ? Une éponge ? Enfin, quelque chose qui servait à faire baisser ma température. Mais rien n'y fit. Au loin, j'entends une voix. Quelque chose, ou plutôt quelqu'un,bouge près de moi. Je vois du mouvement. Je plisse les yeux. Qui est-ce ? Cette langue, ce n'est pas français. Je n'étais pas vraiment d'humeur pour cela. Du moins, pas en état pour me concentrer sur ce que disait cette personne. Elle s'approche. La tête me tourne. Je retombe lourdement sur le fauteuil, ou lit où je suis posé. La silhouette s'en va dans une autre pièce. Ma première pensée ? Fuir. Oui, je suis plutôt un lâche. J'ai si peur que mon père me retrouve que je deviens méfiant avec n'importe qui.

    Alors qu'il est ailleurs, je me relève avec difficulté. Ce n'est qu'une fois assis que je me rends compte que c'est une très mauvaise idée. Je suis loin d'être en pleine forme. Et puis quoi ? Une fois dehors, je ne peux ni courir, ni même marcher. Mes jambes engourdis ne me porteraient même pas. Ma tête me tourne à nouveau, et des nausées me prennent l'estomac. Je me rallonge immédiatement. La douleur à ma gorge se fait plus présente. J'ai envie de tousser. Je roule légèrement sur le côté et obéis à mon corps. Mais cette action m'épuise de plus belle, et m'irrite encore plus la gorge. Elle me brûle. Je tousse comme si j'allais cracher mes poumons. Ce n'est vraiment pas mon jour. Lorsque ma toux se calme un peu, j'entends des bruits de pas. Il revient. J'avais deviné par sa silhouette qu'il s'agissait d'un homme. Après, son âge, ses activités, sa profession, et ses goûts, je m'en fiche. Du moins, pour le moment.

    D'ordinaire, je ne reste pas chez les gens. Si j'avais pu, si j'avais eu assez de force, je serai parti sans rien dire. Oui, c'est très impoli. Mais qu'aurai-je pu faire d'autre ? Le remercier ? Il m'aurait retenu. Enfin, là n'est pas la question. Je ne peux bouger qu'à peine. Mes yeux se ferment. Je suis épuisé. Epuisé par ce chemin, et je... Attends. Je suis en sous vêtement. Ce qui veut dire qu'il a vu mes cicatrices ? Non, il fait trop sombre pour ça. Je refuse que quelqu'un les voit. Je refuse que l'on me plaigne. Je refuse le fait de voir de la pitié dans leur regard. Je ne veux pas ! Je roule sur le dos alors qu'il s'approche de moi. A nouveau, je rougis. Que fait-il si près ? J'écarquille les yeux. Il est trop proche. Je dois le repousser. Mais mon corps m'en empêche. Et puis... Et puis, il ne s'en pas mauvais. Il pose alors son front contre le mien. Je rougis de plus belle en pensant que j'ai vraiment l'esprit tordu. De si près, je peux voir qu'il est assez jeune. Je dirai : pas plus de 30 ans. Je n'ai vraiment plus ma tête.

    Je remarque un bol près de moi. Sur la table de chevet. Qu'est-ce ? Une boisson ? Pour moi ? Je me relève à nouveau avec difficulté. Je cale mon dos contre le coussin derrière moi. Je ne veux vraiment pas qu'il voit mon dos amoché par mon père. Je veux d'ailleurs l'oublier, cet être. J'essaie de tendre le bras vers le bol. Mon bras tremble et j'ai l'impression qu'il fait plus froid en dehors des couvertures.. Mais je dois me forcer. J'attrape le plat tant bien que mal, et le dirige vers moi. Entre temps, je l'ai vu revenir avec ce qui semblerait être des cachets. Je pense qu'il est plus important de prendre cela avant. Je n'ai pas le temps de me poser des questions. Je veux guérir au plus vite pour le laisser tranquille. Je prends un des médicaments posé, et le porte à mes lèvres. Je l'avale avec une gorgé de ce qui semble être de la soupe. Je ne sens rien. Pas de gout. J'écarquille les yeux et grimace de douleur en sentant le liquide passer dans ma gorge irritée. Un gémissement finit par s'échapper de mes lèvres. Je repose le plus rapidement possible le bol. C'est-à-dire, je le pose avec lenteur. Je refuse de continuer à boire tant que ma gorge n'est pas rétablis. Je me roule en boule sans rien dire, ou ajouter. Il ne m'a jamais entendu. Pas même ma voix. Il ne sait pas qui je suis. Alors pourquoi... Pourquoi m'aide-t-il ?
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MessageSujet: Re: Un rencontre (Privée Zach Keiner) Un rencontre (Privée Zach Keiner) EmptyMer 6 Mar - 17:30

J'entendis un gémissement. Il a une vois comment dire, charmant, du moins pour un cheval. À la vue du niveau de liquide ce trouvant le bol il n'avait bus une mini gorgée. Autrement dis il avait mal à la gorge.

Je repart dans ma pharmacie cherchez du sirop pour la gorge.

Comme on peut le constater je suis un homme qui a beaucoup mais alors beaucoup de chose dans ça pharmacie. J'ai tout. Pourquoi c'est autant remplis ? Et bien parce que je suis atteint d'une maladie appelé "l'organisation". Je déteste faire des allé retour pour tout simplement m'acheter des médicament et puis comme ça je peut me soigner seul et donc faire des économies de frais de médecin.

Vive moi Vive moi ! Je suis devenus économe. Quand mon père me vois faire il en rit car je suis riche et pourtant je fais beaucoup d'économie. Je vis dans un appartement "pourris" si je peux dire, je fais des économie de nourriture et même des frais ménager comme l'eau, l'électricité, le gaz et j'en passe et des meilleur. Mais j'ai un patrimoine bien garnis.

Mais bon, ce soire est un cas spécial. Je viens en aide à un de mes élèves. Du moins il ne le sais pas et d'ailleurs je tiens bien à garder ça secret. Parce que je n'ai pas envie que quand il va prendre conscience et qu'il repartira en cours qu'il me dise :
"Sensei ! Merci de m'avoir héberger chez toi et de m'avoir soigner après ma cuite avec mes potes !" Tout en riant de ses péripétie à ces potes pour qu'après ça s'ébruite et que ça vienne au oreille du directeur demande à me voir pour me demander des explications !
Enfin je parle de cuite mais ses vêtement ne sente pas l'alcool mais plus comme les habit de ceux d'un SDF. Mais qu'est ce que font les jeunes de nos jours ?

Bon je reviens voire ma boule de poile jaune fort malade. N'empêche je suis bien curieux ce que fais un blondinet ici au Japon. Faut le dire mais c'est rare de voir ça. Oui les cheveux noire et les yeux noire sont maître au Japon ! Déjà que mes yeux bleu se remarque bien et que je déclenche la curiosité de nombreuse personne mais lui n'en parlons pas !

Mais bon. Pour l'instant il n'est pas capable de bouger limite il s'endors. Je ma hâte dans la cuisine afin de faire quelque chose de plus chaud et surtout sucré. Le sucré rien de tels. Mais il faut que ce soit doux et au moins un peu consistant pour qu'il est au moins quelque chose dans le ventre. Je regarde je regarde. Je fouille dans les placard et tombe sur de la semoule. Et pourquoi j'ai de la semoule ?

Mais bon pas le temps d'y répondre. Je vais lui faire un gâteau de semoule. C'est très bon à la vanille et en plus c'est rapide. Mais bon je ne le servirais pas froid mais chaud et ce sera à la vanille, ça plais à tout le monde.

Depuis quand je me suis pas autant occuper de quelqu'un comme ça. Que je me fais de soucis ? Que je sois attentionné ? Que je fais vite pour que cette personne aille mieux ? Je ne veut pas me rappeler de cette époque.

Quand j'eu finis. Je le verse dans un autres bol. Au Diable la vaisselle. Et je l'amène au salon près du jeune homme accompagner d'une petite cuillère. Je m'assis à coter de lui et lui donne la béquer. La cuillère remplis de ma bouillis devant ses lèvres.

Dans ma tête je me disais : "Avale. Avale. Avale ! AVALE !"
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MessageSujet: Re: Un rencontre (Privée Zach Keiner) Un rencontre (Privée Zach Keiner) EmptyJeu 14 Mar - 17:29

  • Ma tête me tourne. J'ai les paupières si lourdes. Mais je ne dois pas m'endormir. Dormir ici ? Avec la présence d'un inconnu ? Mais quelle idée. On ne peut savoir ce qu'il me ferait pendant mon sommeil. Je ne le connais pas. Et demain, en plus, je dois me rendre au lycée. Mes affaires ? Où sont elles ? Et mes vêtements ? Je ne vais pas y aller nu. Le jeune homme est parti de la pièce. Je me lève. Du moins j'essaie. Mais cela ne sert à rien car je retombe directement sur le lit. Mes jambes tremblent et refusent de me porter. C'est à peine si je les sens. Il y a comme des fourmis qui me parcourent le corps. Et... Et mon dos. Ce dos. Je le déteste. Il me rappelle tant de mauvais souvenir. Et ma mère. Celle que j'ai tué. Certaines personnes me consoleraient en me disant que ce n'était qu'un accident. Mais qui lui a demandé de s'enfuir avec lui ? Qui lui a dit cela alors qu'il faisait un temps de chien dehors ?

    Je revois la scène. La voiture, encastrée dans le mur. Et cette étrange chaleur. Je me souviens de la douleur que j'éprouvais dans le dos. Ainsi que sur le torse. Le choc avait été violent. J'ai éprouvé une douleur aigue en sentant la ceinture me retenir. Certes, je me suis pris quelques bouts de verre venant du pare-brise, mais ce n'était rien comparé à ce qu'avait vécu ma mère. Je ne sais pas si elle était morte en souffrant. Si elle avait vécu une mort lente et douloureuse. Mais j'ai entendu son dernier souffle, je l'ai vu gisante devant moi, agonisant dans mes bras. Mais que pouvais-je faire ? J'étais bloquée. Elle s'était jetée sur moi pour me protéger de plus gros coups. Au final, je m'en suis sorti avec quelques ecchymoses, et coupures. Cette marque dans mon dos s'est mal cicatrisée par la suite. J'en veux à mon père. A cause de lui, j'aurai pu avoir la phobie du feu, des objets brûlants. Mais j'aime tant cuisiner. On est souvent exposé à la chaleur en cuisine. Je ne sais pas comment j'aurai fait si j'en avais eu la phobie.

    Je me remets dans les draps. J'ai dû m'assoupir quelques instants. C'est ce souvenir qui m'a réveillé. Saleté de mémoire.Je soupire. Puis des bruits. Il y a du mouvement provenant de la pièce où s'est engouffré le jeune homme. J'ai mal à la gorge. J'avais oublié. Il me semble sentir une odeur de vanille. Mais je ne suis plus sûr de rien. J'attends. Quoi ? Je l'ignore. Cet inconnu semble être une personne bien. Je ne dis pas ça pour ce qu'elle fait, mais je dirai que c'est l'instinct. Enfin, je ne peux pas le juger pour le moment. De plus, je dois sûrement l'ennuyer. Je dois être un poids, un handicap pour lui. Dès que j'irai mieux, je partirai d'ici. Devrais-je laisser un mot pour le remercier ? C'est la moindre des choses. Il revient, un bol dans ses mains. Je le regarde sans mot, allongé dans le lit. Je tremble. Mais il me semble que les médicaments font effet. A moins que ce ne soit que psychologique ? Mais là n'est pas la question. De toute façon, on se pose toujours des questions bizarres quand on est malade.

    Le jeune homme s'assoit à mes côtés. Je sens une chaleur en moi. C'est une mauvaise idée de s'asseoir près de moi. Un si bel homme. Bel homme ? Avec la lumière de la lune passant par la fenêtre, je peux percevoir les traits de son visage. Je dois vite penser à autre chose ou je sens que je vais passer pour un pervers. Mais je rêve ? Il me donne la becquet ? Non, non, mauvaise idée. Ça va mal finir. Il ne sait pas que je suis bi. Et encore moins, que j'ai un penchant gay. Néanmoins, je ne veux pas le vexer. Je prends la cuillère qu'il me tend entre mes lèvres, et tente d'avaler le contenu. J'ai une atroce difficulté à cela. Je grimace et manque de m'étouffer. J'ai faillit avaler de travers. Il faut que je me concentre sur autre chose que sur le physique d'un inconnu. Je ne sais pas quoi faire. Je suis gêné. Je ne sers à rien. Je le regarde de mes grands yeux bleus. Puis ma vision se brouille alors que je reprends une bouchée de ce qu'il m'a préparé. Pourquoi il fait tout cela pour moi ? J'avais oublié à quel point cela faisait du moins de se sentir apprécié ? Aimé ? Non, ce mot est trop grand. De sentir que quelqu'un s'occupe de toi ? Oui, c'est ça. Sans le quitter du regard, je sens une larme couler sur ma joue. Et là, maintenant, je me sens... Idiot. Pourquoi je pleure ?
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MessageSujet: Re: Un rencontre (Privée Zach Keiner) Un rencontre (Privée Zach Keiner) EmptyJeu 14 Mar - 18:00

Je ne pensais pas que je découvrirais une tels facette de ma personnalité. Une facette plus noire que noire. Je me suis déshumanisé après la mort de ma femme et de mon bébé. Comment pourrais-je avoir des sentiment humain aujourd'hui ? Que je m'occupe de quelqu'un comme si il était ma chose a moi?Ce sentiment d’égoïsme ?

Impossible.

Je vois mon jeune malade se relever pour s’asseoir comme une personne âgée. Un mal de dos ? Étrange. Je sais que mon canapé n'est pas un cinq étoiles mais là c'est vraiment étrange. I
Ma cuillère toujours devant sa bouche. Le jeune homme face à moi d'un aire mal alaise mais vif malgré tout me prend la cuillère et la met lui même dans la bouche.

Ses lèvres rosie par la fièvre et ses yeux bleu larmoyant sont si excitant.

Non !
Pas de penser pervers pour ton élève. Il a mal au dos ! Mal de dos ? Ça m'inquiète. Sans crié garde je me lève et me met derrière lui. Je lui attrape les épaules pour ne pas qu'il se débat. Désolé pour la douceur mais là c'est important. Il faut que je le sache ! Des traces de coup, de brulure et autres atrocité ! Sans parlé des cicatrices !

Oh my God !

Je regarde le dos et là des flash de ma femme et de mon bébé sur le billard de la morgue. J'entendais les larmes coulé de mon chers élève. Qui lui à fait ça ? Qui a touchée à mon élève ! Je vais le tué ! Qui à toucher à Zach ?

J'étais dans une rage folle ! Mais je me contrôle. Je repars dans la cuisine et prend toute ma boite de premier secours. Je m'assoit à coté de lui et là j'ai sentis des larmes coulé follement.

« Hanata !» Ma femme.

Calme toi ! Ce n'est pas ta femme c'est ton élève. Ton élève blesser lui aussi et sûrement comme toi vus les larmes qui coule ! Je me mis à respiré calmement. Et je lui ai dit calmement :

« Qui t'a fait ça ? Je m'excuse pour le comportement de toute à l'heure mais je t'en supplie ! Qui ta fait ça ? »

C'était rageant ! Frustrant ! Je volais savoir qui à fait ça à Zach ! Qui !
« Hey ! S'il te plaît dit moi qui ta fait ça ? Part pitié ! »

J'avais mes yeux au bord des larmes pas que j'ai pitié de lui ! J'ai pitié de moi même car je ne peut rien faire ! Comme je n'ai rien peut faire pour ma femme et mon bébé !
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MessageSujet: Re: Un rencontre (Privée Zach Keiner) Un rencontre (Privée Zach Keiner) EmptyJeu 14 Mar - 19:38

Ichiban no Takaramono ~ Angel Beats
  • Mes larmes coulent. Pourquoi ? Et maintenant, de quoi ai-je l'air ? Je ne veux pas qu'il me voit pleurer. Je me recroqueville, refusant la bouchée future. Mais il n'a pas l'air de vouloir me forcer à avaler la prochaine. J'essaie de ravaler mes larmes, alors que mon corps est secoué par de petits spasmes, dus aux larmes. Ma mère me manque. Je l'avoue. Et pourtant, voilà quelques années qu'elle nous a quitté mon père et moi. Mon père... Je ne sais même pas s'il mérite cette appellation. L'inconnu en face de moi se montre si gentil, si attentionné. Mes larmes coulent de plus belle. Non. Non, s'il te plait, ne te moque pas. Je ne veux pas entendre des rires. Je ne veux pas que l'on se moque. Arrêtez vous mes larmes. S'il vous plait. Je vous en pris. D'un revers de la main, j'essuie mes larmes et relève la tête. Je manque de sursauter en voyant que le jeune homme a disparu. Où est-il ? Rit-il dans un coin ? Je ne veux pas savoir. Je dois m'en aller. Je me sens à nouveau mal à l'aise. Je tente de me relever quand deux mains attrapent mes épaules.

    Je manque d'hurler. Un gémissement étouffé s'échappe de mes lèvres. Que fait-il ? Attends, il est dos à moi ? Je suis à moitié nu. Non, je n'ai pas de pensée perverse. Mais là, il découvre mon dos. Je grimace. J'essaie de me débattre, au moins pour le faire lâcher prise. J'y parviens. Je me roule en boule, en tentant tant bien que mal de cacher mon dos. J'ai cru entendre un mot sortir de sa bouche. Un nom peut-être ? Je ne sais pas. Il m'a semblé entendre un sanglot aussi. Pleure-t-il ? Non, je ne veux pas voir. Je ne dois pas me mêler de sa vie privée. Je veux disparaître. Tout de suite.

    Il me parle. Je me recroqueville de plus belle en entendant sa voix. Certes, elle est calme. Mais moi pas. Je... Je n'aime pas qu'on voit mon dos. Il l'a vu. Je me sens nul. Je ne veux pas attirer la pitié. Je lève la tête vers lui, tentant de cacher mes larmes. En vain. A quoi dois-je ressembler ? Mes yeux humides et paniqués me trahissent. Je déteste parler de mon dos. Mais il le faut bien, non ? Après tout, il vient de me sauver d'une morte certaine. Oui, j'aurai pu mourir à dormir dehors encore. Je ne cesse de le fixer. Le silence s'installe. Il est pesant. Je crois voir des yeux qui brillent. Serait-ce des larmes ? L'inconnu pleure-t-il ?

    « C'est... commencé-je avec difficulté. C'est une personne qui me déteste. Parce que j'ai tué une personne qui était chère à nos yeux. Stop, arrête. Je l'ai tué. Ma voix tremble. Depuis, je reçois plus de coup. Tais-toi. Je n'aurai jamais du venir au monde. Mes larmes recommencent à couler. Je les ai mérité, ces coups. Mon visage se déforme sous la tristesse. Elle est morte par ma faute ! crié-je presque. Je l'aimais tellement ! Je me mets à pleurer à chaudes larmes. Elle est partie, pour toujours. Et ces marques... Ces marques... Ne sont que le fruit d'une tortue incessante. »

    Les larmes coulent alors que j'affiche un sourire.
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MessageSujet: Re: Un rencontre (Privée Zach Keiner) Un rencontre (Privée Zach Keiner) EmptyJeu 14 Mar - 20:15

J'en croyais pas mes oreilles. ! Un meurtrier ? Lui ? Non c'est impossible mais quelqu'un qui a des regrets c'est plus probable. Ce dos/ Ce dos !

Je le prend dans mes bras. Au diable mon rôle de professeur ! Je peut pas le laisser pleuré. Je le berce une peu comme un petit enfant apeuré.

Je vois de la lumière. Elle m'humanise.

Je le prend dans mes bras et lui dit des petit "chut" pour le calmer. J'évitais de lui caresser le dos pour ne pas le blesser plus qu'il ne l'ai déjà. Et je pleurais en même temps que lui. C'était plus fort que moi.

Ce n'est pas mon élève, je ne suis pas son professeur. Je suis son ami désormais. Son ami de tristesse.

Puis je lui dit calmement :

"Alors si tu es un meurtrier comme tu le dit alors moi aussi. Je ne te connais pas mais je sais une chose. Tu n'est pas un meurtrier. si tu l'étais tu ne serais pas là a pleuré chez un inconnue qui est moi tu serais en prison. A partir d'aujourd'hui tu ne sera plus jamais seul. Je resterais avec toi. Tout les deux nous sommes des meurtrier au coeur blesser. "

Je relâche ma prise. Je prend de l’alcool pour désinfecter les plais et je prend de la crème anti-inflammation.
Je lui dit calmement :

"Maintenant que tu m'as dit ça je vais te dire quelque chose en retour : mon nom est Vincent Valentine et toi ? Quel est ton nom ?"

J'avais l'impressions de faire un pacte mais il était claire que maintenant il ma enlever mon voilà de ténèbres et qu'il me guide vars la lumière qui est l'humanité. Je ne veut pas y revenir mais c'est pour une bonne cause. Alors venez le monde que je vous bas !
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MessageSujet: Re: Un rencontre (Privée Zach Keiner) Un rencontre (Privée Zach Keiner) EmptyJeu 14 Mar - 20:46

    River Flows In You ~ Lindsey Stirling

  • Je sens des bras m'entourer. Une douce chaleur. Une chaleur tant cherchée qui, depuis longtemps m'avait quitté. Cette apaisante douceur qui me faisait tant de bien. Comme une mère protège son enfant. Comme un ami réconforte un autre. J'hésite un moment. Que faire ? Cela faisait si longtemps que je n'avais pas ressenti cela. Mes pleurs se font plus présents. Des larmes coulent à flot. Un amer goût de tristesse, et un agréable goût de joie. Je pleure, oui, mais depuis quand ne me suis je pas confiée ? Depuis quand ne m'avait-on pas rassuré ? Depuis quand suis-je seul ? Depuis bien trop longtemps. J'essaie d'arrêter mes pleurs. Mais cette fois-ci, j'ai une aide avec moi. Un ami. Un vrai ? Cela, il devra me le prouver dans les jours à venir. Car j'ignore tout de lui. J'ignore ses goûts, sa profession, son passé, ses envies, ses préférences. Et même si je sais tout cela, me laissera-t-il tomber quand j'aurai le plus besoin de lui ? A première vu non. Je me sens si bien. Je sens mes larmes s’assécher. Est-ce parce que j'ai trop pleuré ?

    Je ferme les yeux et réponds à son étreinte. Contre moi, j'ai l'impression de sentir comme des spasmes. Il pleure ? Il y a de fortes chances. Je me demande... Si une personne passe et nous voit. Que dirait-elle ? Que nous sommes des tapettes ? Qu'il n'y a que des gay pour pleurer ainsi l'un contre l'autre ? Je leur répondrai alors avec un calme olympien qu'il n'y a pas que la fierté dans la vie. Qu'il ne faut pas garder tout pour soi. Cela comporte des risques. Dépression, tristesse, colère. Et j'en passe. Se confier à un ami est la meilleure des solutions. Pourquoi ai-je tout avoué à un inconnu ? Parce qu'il m'a mis en confiance. Il m'a apprivoisé. Comme le renard dans le Petit Prince. D'ailleurs, ne dit-il pas : « Mais si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde. » Et c'est vrai. Maintenant, je le sais. Je suis en sécurité ici.

    Il se dégage, brisant ainsi notre étreinte. Je ne pleure plus. Je me sens un peu mieux. Mais toujours malade. Il s'en va fouiller dans sa trousse de premiers secours. Je regarde mes mains. J'ai l'impression de le tenir encore dans mes bras. De me sentir encore en sécurité, au chaud. Un endroit où mon père ne peut m'atteindre. Un endroit où régne une étrange et douce atmosphère. Une chose que je n'ai plus vu ou ressenti depuis longtemps. Je pose une main contre mon front. Je finis par sourire. Le Petit Prince était un livre que ma mère m'avait lu quand j'étais jeune. Je lève la tête au ciel :

    « On risque de pleurer un peu si l'on s'est laissé apprivoiser, dis-je en souriant. »

    Il ne devait peut être pas comprendre ma référence, mais je m'en fichais. L'important est que j'ai trouvé la personne en qui je devais avoir le plus confiance.
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MessageSujet: Re: Un rencontre (Privée Zach Keiner) Un rencontre (Privée Zach Keiner) EmptyVen 15 Mar - 16:44

Cette phrase me rappel un conte je croit que c'est "The Little Prince". Je pense qu'il y avait un renard qui avait du mal à s'approcher du petit prince et qui avait du mal à s'apprivoiser ou quelque chose comme ça. Je lisais cette histoire au ventre de ma femme quand elle était enceinte.

Un conte semait d’embûches et obstacles en tout genre basé sur de la féerie et de l'imaginaire. N'est ce pas magnifique en en même temps irréalisable ? Cette enfant à entendus tout sorte de conte où la vie est magnifique mais pourtant semait d’embûche mais il n'a jamais vus la vie réel qui n'est pas celle que l'on peu lire dans les conte de fée. Quelle ironie. Mais en tout cas ce jeune homme en face de moi lui connait la vie réel mais pourtant il veut s’accrocher au conte de fée. Il est resté fort dans son esprit. Limite je l’envi. Moi je ne pourrais pas penser à un conte de fée. Et pourtant j'y pense là. Maintenant.

Cette personne me fascine. Je ne sais pas se qu'il ma fait mais en tout cas il a réussis à m'humanisé. Ça en est effrayant. Je ne sais pas si c'est son physique ou quoi que se soit. Mais rien que le fait qu'il est parlé de "The Little Prince " Me fait pensé que Zach est le "Prince" et que moi je suis "The Fox". Peut-être qu'il voit le contraire de ce que je suis en train de penser mais c'est pourtant vrais. Et d’ailleurs il ressemble physiquement au prince.

Mais je compris où il voulait en venir. Alors je lui répond sur un ton doux pour ne pas l'effrayai :

"Peut-être. Mais veux tu prendre le risque ?"

Il est vrais que si on s'attache l'un de l'autres on pourrait en souffrir. Mais nous avons tellement souffert tout les deux que je pense que malgré tout cela nous feraient pas de mal. Peut-êtres même le contraire. Pas que je n'ai pas oublier le fait qu'il soit mon élèves mais après tout on peut avoir une relation d'amitié hors du lycée. Du moment que l'on passera le portail nous pourrons êtres soit un élève et en enseignant banal et en sortir et la nous serons des amis de tristesse. Nous pourrons le gérer j'en suis certain.

Mais bon il n'est pas bien et pour l'instant ce n'est pas le moment de lui dire que je suis son professeur d'anglais. Peut-êtres que je ne dirais rien et que lui le découvrira tout seul ou bien je le lui avouerais un jours. Mais ça, il n'y a que l'avenir qui nous le dira.



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MessageSujet: Re: Un rencontre (Privée Zach Keiner) Un rencontre (Privée Zach Keiner) EmptyVen 15 Mar - 17:16

Never Alone - TheDubDash ft. Feather

  • Je me sens ailleurs. Et bien ici. Je voudrai bien rester. Mais non, il ne faut pas. Un jour où l'autre, je devrai partir. Je ne veux pas être un poids pour une nouvelle personne. Pour l'instant, elle semble bien m'aimer, mais elle ne me connait pas. Ce fameux Vincent est quelqu'un de spécial. Il a réussi à calmer mes pleurs. Ma tristesse. Non, elle est toujours là. Pourquoi ai-je pleuré ? Etait-ce de la joie ? Peut-être. Il m'a désinfecté le dos. Je l'ai laissé faire, sans mot. D'ordinaire, je ne laisse personne me toucher. Et encore moins le dos. J'ai si peur que cela recommence. Mes peurs, mes craintes. Elles sont présentes où que j'aille. Partout. Même quand j'essaie de me trouver un endroit calme, j'ai toujours une impression d'être suivi, observé. Partout. Sauf ici. Je ne sais pas, je me sens bien. Est-ce cela le bonheur ? Je ferme les yeux un instant.

    Ai-je déjà connu le bonheur ? Peut être, autrefois. Ma mère me donnait tant de joie dans ma vie. Et quand j'étais petit, je ne pouvais la défendre. Je ne pouvais même pas me rendre compte des coups qu'elle recevait. Peut-être que je trouvais cela normal ? Peut être... Je me souviens que, quand elle avait le temps et que la maison était vide, elle m'apprenait la musique. J'avais une facilité à apprendre avec elle. Elle me jouait souvent des morceaux pour que je m'endorme. Surtout lors de mes siestes. Elle évitait le soir à cause de mon père. Mais sa chaleur me rassurait. J'aimais tant quand elle me caressait la tête. Elle était si douce. Et sa voix. On aurait dit un ange. Pourquoi mon père devait-il se comporter ainsi avec elle ? Les morceaux qu'elle m'apprenait étaient simples. Je ne lui arrivais pas à la cheville. J'aurai tant voulu m’entraîner. Tant voulu lui prouver qu'elle pouvait être fière de moi ! J'aurai tant voulu lui faire plaisir à être un enfant modèle à ses yeux. Elle le méritait. Mais, à sa mort, mon père a jeté le piano, disant que cela ne servait à rien de le garder. Il aurait pu jeter les partitions, mais j'avais réussi à les cacher à temps. Et mon violoncelle qu'elle m'avait offert. Il me la laissé. Ma mère n'en jouait que peu, il n'aurait pas de souvenir d'elle avec un vulgaire violoncelle. Qu'il a détruit en me jetant dehors.

    Vincent m'adresse la parole. Je rouvre les yeux, et lui souris légèrement. Sa présence me rassurait. Je n'ai pas besoin de pleurer. Du moins, pas pour le moment. D'un simple hochement de tête, je lui réponds. Mais j'accompagne ce mouvement d'un sourire gratifiant. Oui, je veux prendre le risque d'avoir un ami. Pour le meilleur, et pour le pire. Je refuse de faire ce que l'on m'a fait subir. Je refuse d'abandonner un ami en difficulté. Crois-moi, Vincent, je ne t'abandonnerai jamais, me dis-je. J'ai l'impression que ma fièvre a baissé. Enfin, j'ai surtout les idées plus claires. Ou peut-être est-ce le médicament ? Soudain, je vois l'heure, au loin :

    « Oh ! dis-je en évitant de crier. J'ai cours demain ! J'ai été transféré aujourd'hui. Je ne sais même pas où est le lycée ! »

    Je me sens paniquer. Et me voilà reparti dans mes délires. Je gémis et tente de me calmer. Tout va bien. Tout va bien. Chut. Que faire ? Et où est mon sac ? J'étais sûr de l'avoir avec moi la dernière fois. Il y a mes partitions dedans. Même si je n'ai plus le moindre piano, ou violoncelle, je les garde toujours avec moi. Ce sont les seuls souvenirs qu'il me reste d'elle. Ainsi que quelques photos que j'ai sauvé du feu. Je n'ai plus touché un piano depuis qu'elle nous a quitté. Je lève la tête vers le ciel, là où il y a la fenêtre. Je l'observe un moment. Maman. M'entends-tu ? Es-tu là ? Je te demande encore pardon. Je ne voulais pas te blesser. Je voulais ton bien, mais, encore une fois, j'ai tout gâché. Tu me manques. Je veux que tu reviennes. On s'amusait bien quand papa n'était pas là. Où es-tu en ce moment ? M'observes-tu ? Veilles-tu sur moi ? Je ne le mérite pas, et pourtant, j'ai l'impression que tu le fais. Merci. Merci pour tout... Je t'aime... Je ferme les yeux. Une larme coule.
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MessageSujet: Re: Un rencontre (Privée Zach Keiner) Un rencontre (Privée Zach Keiner) EmptyVen 15 Mar - 21:09

J'aime ce qu'il dit. Il pense quand même au cours. J'espère qu'il ne va pas faire la relation avec mon nom de famille avec celui du professeur qu'il a demain. Et puis si il fait la relation et bien au moins se sera fait. Il pleuré encore. Mais bon il est maintenant temps d'aller se coucher. Je pose délicatement sa tête sur son oreillée et je lui fait un bisous sur le front en lui disant :
"Have a good night sweetheart."

Et j'étains la lumière du salon. Je m'enferme dans ma chambre. Je me déshabille pour me mettre en caleçon et me coucher dans mon lit. Mais quelque chose me maintient réveillé. C'était quelque choses qui se passait à mon entrejambe. Il fallait que je me soulage.

Après quelque instant et que je fus enfin soulagé je m'endors enfin. Depuis combien de temps je n'ai pas eu ça ? Cela dois faire un an au moins. Il est claire que maintenant, il va falloir que je me contrôle quand je suis en ça présence. Mais bon maintenant il est temps de dormir car demain je me lève tôt. Demain je commence ma première journée de cours et en plus j'ai en première heure ça classe.

Le lendemain je me lève assez tôt. Du genre cinq heures du matin. Je me lève t entre ouvre la porte juste pour voire si il dort. Il dormais toujours. Alors je vais doucement à la salle de bain et me prend une douche et me brosse les dents puis ensuite je repars dans ma chambre toujours furtivement pour m'habillé. Il va de soit que je suis en costume avec la cravate et tout le tralala. Puis je vais dans la cuisine pour me boire un bon thé. Je n'aime pas le café. Et oui, même si je suis un homme d'âge mûre je n'aime pas le café. Je préfère le sucré à l'amer.
Enfin je pris ma valise de travail et mis mes lunettes sur mon nez.
Je pris un papier et écris un message :
" Jeune homme.
Prépare toi à aller en cours. Tes vêtements son sec et propre et ton sac est au pied du canapé. Fait comme chez toi.
Je te laisse le doubles de mes clés et surtout si il se passe quoi que se soit et que tu ne sais pas où dormir ma porte est grand ouverte. Prend en grand soin. Fait attention à toi. Et si tu te sent mal reste au lit.
Bye bye.
"

Je le pose sur la table du salon avec le double de mes clés avec. Je prend ses vêtement propre et sec et les poses à coté du message papier.

Il est temps pour moi de partir au travail. Je ne suis plus Vincent Valentine. Je suis professeur Valentine. Pourvus qu'il ne me reconnaisse pas ou bien qui reste à l'appartement pour ce reposer. Je veux qu'il revienne à l'appartement au moin je sais qu'il est en lieu sur et qu'il n'est pas avec cette personne qui le frappe.
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MessageSujet: Re: Un rencontre (Privée Zach Keiner) Un rencontre (Privée Zach Keiner) EmptyVen 15 Mar - 22:18

Fin.

○ • ○ SUITE DANS LES SALLES DE CLASSE. ○ • ○
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