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Un quartier ,deux personnes, et une arme !

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Oniko Hinomoto
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MessageSujet: Un quartier ,deux personnes, et une arme ! Un quartier ,deux personnes, et une arme !  EmptyVen 21 Déc - 15:09

Oniko se réveilla en entendant son téléphone bourdonnait , elle jeta un regard a l'horloge :10 h 11 . oni' grogna et regarda son tel' , un nouveau sms : "je l'ai trouver ! c'est un crétin qui l'as ! il croit que c'est un katana normal ! RDV 14 h , quartier Malfamées ! #Ton informateur préférer "
Un sourire satisfait apparus sur le visage de la combattante qui courut de piece en piece se préparer et sortit vers 10 h 34 avec un pantalon noir et un t-shirt rouge pourpre avec des fleurs noirs dessus, un blouson et des bottes en cuir, ses cheveux attachée en queue de cheval , elle avait pris tout de même un sabre qu'elle avait attachée sur le jean a l'aide d'un long ruban de cuir noir ....puis oni' sortit et se dirigea ver le point de rdv, tout le monde l'as regardée ,certains avec crainte ,d'autre avec respect ou fierté et d'autre encore essayé de l'ignorer ...chose impossible !Elle s'enfonça dans les profondeurs des pires quartiers et arriva au point de rendez-vous beaucoup trop TÔT !!
alors elle s'assit sur une marche d'escalier et attendit tout en sortant et rangeant son katana ce qui eut pour effet d’éloigner tout le monde ...mais un petit malin essaya de s'approcher :
- eh toi ! ici c'est pas un endroit pour les mômes ou les minettes ..genre toi !!!
oniko se leva doucement comme au ralenti , sortit son sabre,envoya le mec par terre puis elle se rassit ... désormais il n'y avait plus personne , un long silence se fit accompagnées de buits de pas ...une seconde ! c'est pas normal ça ! notre sabreuses se retourna et regarda celui (ou celle) qui venait d'arriver .
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Zach Keiner
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MessageSujet: Re: Un quartier ,deux personnes, et une arme ! Un quartier ,deux personnes, et une arme !  EmptyVen 21 Déc - 15:51


  • Ichiban no Takaramono 「一番の宝物」 ( Yui Ver. )

    Il était tôt ce matin quand je me suis levé. Un week end différent des autres. Je le sentais. Je n'arrive plus à me rendormir. Je me suis donc habillé. Simplement. J'étais seul dans la chambre. Que croyez-vous ? Une fois mon pantalon noir enfilé, je mets une chemise blanche. Pour moi, cette tenue était simple. Elle me rendait plus adulte. Mais je n'en avais que faire. Aujourd'hui, il fallait vraiment que je parte remplir mon armoire. J'ai peu de vêtements en stock. Et aussi, un budget très serré. Nous sommes samedi. Il doit être aux alentours de 7h00. Je regarde mon emploi du temps. Et je m'aperçois, avec horreur, qu'aujourd'hui est mon premier jour de travail. Je me dépêche, je cours dans mon petit appartement. J'aurai pu réveiller tout l'immeuble. Je me rue dans les escaliers. Pour moi, l'ascenseur était bien trop lent. Je manque plusieurs fois de tomber dévalant les marches. Une fois arrivé en bas, je n'ai pas le temps de prendre le moindre repas que je cours dans la rue, enfilant mon manteau dans la foulée. Fort heureusement, mon travail est tout près. Je travaille comme cuisinier dans un café. Je suis remplacé l'après midi.

    Depuis que mon père m'a mis à la porte, je dois vivre par mes propres moyens. Je gagne tout juste assez pour payer mes études. Je ne mange que peu. En semaine, je travaille aussi le soir. Donc je me couche assez tard pour finir mes devoirs. Je suis assez pâle en ce moment, je dois l'avouer. Mais je n'y peux rien. Je sais que si je ne travaille pas une journée, je ne suis pas payé. Ce qui peut m'être fatal. Et puis, cette vie est mieux que celle avec mon père. Ce monstre. Il me faisait du mal sans le moindre remord. Il souriait. Riait de ma souffrance. Me toisait avec son sourire narquois quand je rampais pour lui échapper. Ses coups de ceinture, je les entends encore. J'en rêve encore. Je rêve encore de ces années de malheurs. Je souhaite tant les oublier. Je souhaite tant que ces cicatrices s'effacent. Je souhaite connaitre le bonheur. J'ai tellement de rêves qui ne pourront se réaliser.

    J'arrive au travail. Je suis essoufflé, mais au moins, je suis à l'heure. On m'accueille à bras ouvert. Cela me fait chaud au coeur. J'avoue que j'apprécie mon patron. C'est lui qui m'a engagé après avoir goûté à mes pâtisseries quand il m'a recueillit chez lui. Malheureusement, avec sa femme et ses deux filles, il ne pouvait me garder bien longtemps. Il m'a aidé à trouver un logement pas cher, et en assez bonne qualité. Son café. Je me sentais en sécurité dans cet endroit. J'aimais y travailler. J'aimais fournir des efforts pour voir les clients me sourire, ou me remercier. Même si je suis plus souvent en cuisine. Je devais aussi garder le sourire. Mon patron était comme un second père pour moi. Et quand j'avais le temps, je gardais ses filles, des jumelles. Violette, sa femme, m'aimait beaucoup aussi. Elle me nourrit, et ne répète sans cesse que je suis trop maigre. Elle a un style assez spécial, je dois l'avouer. Avec ses piercings, et sa longue chevelure violacée. Mais elle et son mari ont le coeur sur la main. Leurs filles m'apprécient beaucoup. Elles m'appellent tonton. C'est comme une famille. La famille que je n'ai jamais eu.

    La matinée se termine. Il doit être 13h00 quand je quitte mon post pour manger le reste de ce que les clients n'ont pas voulu. Du moins, pas acheté. Je ne vais pas jusqu'à racler leurs assiettes. Mon patron me laisse partir avec le sourire et m'offre même un gâteau pour chez moi. Il sait, lui aussi, que je mange peu. Il me tape sur l'épaule et me laisse partir. J'ouvre le sac qu'il m'a donné. Dedans se trouve un fraisier. Je souris en voyant à quel point il est si bon avec moi. J'aime sa gentillesse. Il ne se débrouille pas mal en cuisine. Je le remercie du fond du coeur de bien m'avoir accepté à ses côtés. Il me prend sous son aile. Mais une peur me ronge l'estomac. Et si jamais mon père me retrouvait ? Que ferai-je ? Je n'ai aucune envie de blesser qui que ce soit. Mes pas me dirigent tout seul. Je ferme les yeux un instant. Et je vois que la lumière du soleil disparaît peu à peu. J'ouvre les yeux. Je me suis trompé de route. Où suis-je ? Tout me parait si effrayant ici. Je me sens petit. Faible. Oh, faible, je le suis. J'ai à peine la force de faire l'aller, retour du café jusqu'à chez moi. Je m'avance doucement, avec hésitation. Je n'entends pas le moindre bruit. Les immeubles semblent abandonnés ici. Je déglutis difficilement. J'ai l'impression de n'entendre que les battements de mon coeur s'accélérer. Je me fige au moindre bruit suspect. Par chance, il n'y a personne. Le bruit de mes propres pas me fait assez peur, je l'avoue. Au loin, dans la rue qui s'assombrit, je vois une ombre. Non, une silhouette. Je ne dois pas montrer ma peur. Je prends mon inspiration et continue de marcher. Je me concentre dessus. Je me rapproche de plus en plus, jusqu'à ce qu'un rayon de lumière vienne éclairer le sabre qu'elle avait en main. Je laisse échapper un léger cri de surprise. Je sens mes jambes trembler. J'ai vraiment horreur de ces endroits. Je me sentais faible. En levant les yeux vers l'individu, je reconnais la silhouette d'une femme. C'est donc une fille qui me fait si peur. Je me mords la lèvre discrètement, me figeant. Je ne peux plus bouger. Mes yeux sont rivés sur cette personne armée. Mes doigts se resserrent sur le sac contenant le gâteau. J'attends. Qu'est-ce que j'attends ? Bonne question. Un mot ? Une voix ? Un signe ? Je ne peux plus bouger. Je suis aux aguets. Au moindre faux-mouvements, je peux me faire transpercer par cette arme. Je ne sais pas me battre. Je n'ai aucune raison de le faire. Je ne fais qu'attendre un signe de sa part.
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Kévin Notame
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MessageSujet: Re: Un quartier ,deux personnes, et une arme ! Un quartier ,deux personnes, et une arme !  EmptySam 22 Déc - 17:57



Vivre dans l’indifférence et la violence.

Il devait être six heures ou sept heures du matin quand on me leva avec violence. Une violence, oui, ce qui veut dire qu’une personne m’a sauté dessus qui est cette personne, mon chat, mais qu’est-ce qu’il fout là celui là, mais ce n’était pas que lui, car à moins qu’il est prit au moins vingt kilos en une nuit, je me demande qui sait. J’ouvris un œil puis l’autre et aperçu un petit garçon.. Oh c’était juste ça.. Attendez minute papillon d’où il sort ce mioche ? Je ne sais pas, je le regardais pendant un moment puis je pris conscience qu’il était quand même dans MA chambre et je me demande bien ce qu’il fout là. Je ne dis rien au début et je me levais en silence en le regardant. Puis je décidai qu’il fallait peut-être que je demande d’où il sort, car franchement, je ne l’ai jamais vu celui là. C’était un cadeau tombé du ciel. Enfin plus un fardeau, je pense que je n’aime pas les gamins sont chiant et ils veulent toujours qu’on joue avec eux, alors qu’on à mieux à faire.

- Oh l’gamin t’sors d’où ?

Il ne répondit pas, cela m’énervai, alors je le pris par le bras et le jeta en dehors de ma chambre. Sans rien dire je refermai la porte de ma chambre et je pris une douche pour enfin pouvoir m’habiller, de tout façon maintenant je n’avais que ça à faire vu que je ne pouvais plus dormir et entre nous, je n’avais pas dormit de la nuit donc aujourd’hui j’allais être encore plus grognon que d’habitude. Après avoir fait cela. Je sortis aussi vite que possible de ma chambre en descendant les escaliers à une vitesse fulgurante. On va dire que je n’ai pas descendu comme tout le monde. J’ai carrément sauter. Peut-être que j’aurai du me retenir de sortir de ma chambre, car je venais de me retrouver nez à nez avec une jeune femme. Et d’où elle aussi ? C’est la journée des inconnus Aujourd’hui où quoi ? On m’aurait dit « il faut dire bonjour Kévin, dépêche toi. » Mais moi non, je la regarde et je revois l’enfant. Je fis un soupire et fit un signe de la main pour dire que je partais en gros ni bonjour ni un ça, c’est « j’me casse sans rien dire puis voilà. » Je savais que mes parents voulaient adopter un autre enfant, c’est peut-être lui. Moi temps qu’il ne m’embête pas tout va bien. S’il ne refait pas comme ce matin je pense qu’il n’y aura pas de massacre.

Je devais aller en cours aujourd’hui, mais on va dire que j’avais la flemme puis j’avais pas pris mes affaires comme d’habitude quoi. Parfois je me demande comment je fais pour avoir des notes bien. Mais ce n’était pas important aujourd’hui, je voulais faire je ne sais quoi, mais j’allais trouver. Pendant je ne sais combien de temps je vais rester dehors, alors il faut quelque chose qui m’occupe vraiment. Je pris mon portable et regarda l’heure.. il était bientôt huit heures. C’est que l’heure passe vite en ce moment. A cette heure si la bibliothèque devait être fermé, mais la personne qui s’en occupe devait être là. Alors, je pense que je vais aller là-bas. Cette personne est une jeune femme. Elle est très gentille avec moi et c’est qu’avec elle que je suis le plus gentil. On ne me reconnaître pas. Elle va sûrement me passer un savon sur le fait que je ne suis pas en cours, mais ce n’était pas bien grave, j’avais l’habitude. Ce que j’aimais beaucoup chez cette femme, c’est que même si elle ne peut plus ce voir mon père et ma mère, elle est toujours contente avec moi et elle m’aime beaucoup, alors qu’elle devrait me détester comme la peste, mais elle ne le faisait pas et ça j’appréciais vraiment. Je ne savais pas quoi faire pendant des heures, car pour dire le coin était quand même désert pourquoi donc ? Car elle était partie et je ne pouvais pas faire tourner la boutique. -ironie bien sûr ce n’est pas une boutique.- Alors vers une heure de l’après midi, je fis un tour en lui laissant un mot comme quoi je reviendrais demain.

Après quelques minutes de marche je me retrouvai dans un quartier comment dire.. c’est le genre de quartier qu’on dit que c’est dangereux. Oui, oui on dit même que je devrais vivre ici, alors que je trouve que je suis très bien là où je suis, mais bon ce n’est qu’on détail. Je marchais tranquillement ma sucette en bouche. Je suis fan de sucrerie, enfin bon. J’étais monter su ils évitaient ce quartier, mais certains venaient, car ils habitaient là. J’entendis un bruit, de pas qui résonnait dans cet endroit sombre, je me retournais et je voyais un jeune homme et une jeune fille. La fille avait une arme. Je souriais, car je voyais que l’homme avait peur que c’était idiot. Je ne sais pas pourquoi il avait peur ce n’est pas comme si elle allait l’agresser et si c’est le cas, je veux voir ça. J’observais les deux à tour de rôle. Un petit rire m’échappa. L’un me faisait penser à un gars qui n’est pas du genre à ce battre, mais plus à se planquer dans un trou pour ne pas qu’on le remarque et l’autre semblait comment dire être partante pour tout combat qui se présenterait à elle. Deux personnes différente et qui ne doivent pas venir du même monde, ça ne fait pas souvent bon ménage. Ma journée avait mal commencer, mais ce pourrait il qu’elle finisse bien ? Va savoir…
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Oniko Hinomoto
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MessageSujet: Re: Un quartier ,deux personnes, et une arme ! Un quartier ,deux personnes, et une arme !  EmptyDim 23 Déc - 15:51

Oniko avait remarquer ce jeune homme blond qui était arriver ,tenant un sac d'une pâtisserie connue dans ces mains .
Il serrait le sac nerveusement comme si ..il avait peur ! Peur d'elle sans hésitation , il semble attendre quelque chose . Oui mais quoi ?? Il a le regard figée sur son arme et oni' ne peut s'empêcher de sourire : il semblait si fragile , si pas dans son élément ...De loin , on aurait cru sans doute qu'elle était sur le point de le massacrer , bien que pour l'instant la seule personne qu'elle veuille tuer ce fut elle même pour être arriver méga en avance ! La sabreuse se perdit dans contemplation des immeubles ,des déchets ...bien décidé a laisser tranquille le blond mais elle entendit un rire derrière elle , ce qui eu le don de l’irrité puis de l’énerver alors elle se retourna et regarda la personne qui osait la dérangé alors qu'elle était de bonne humeur et fut surprise de constater que c’était un mec avec un drôle de sourire , des cheveux blonds assez long , les oreilles percées et une sucette dans la bouche ...* génial je suis cernée..bon soyons sociale pour UNE fois ....oh et puis non ... ça sens bon le fraisier .... sac de pâtisseries = fraisier ! * Oniko rangea son sabre avec un soupir bien appuyer , regarda le blond qui semblait si fragile ...peut être pourrait-il ce calmer et éviter ainsi qu'elle repasse à la télé ?? *bah on peut toujours espérer ...*

Elle regarda ensuite le nouveau venue avec énervement bien qu'il ne lui est rien fais ....comme ça juste pour rien !
Il semblait assez content pour une raison qui lui échapper complètement : peut être la reconnaissait-il et espérait qu'elle tabasse l'autre ...Ou alors il était juste sadique ....Ou bien encore voulait-il s'en prendre a elle...Dans ce cas là il aurait une sacré surprise ! Mais elle repoussa cet idée : Pas de drame ! pas cette fois ! Oni' continua a regarder l'autre quand elle se rappela qu'il y avait l'autre alors elle retourna (encore), avança vers lui avec une lenteur voulue, se stoppe devants lui toujours lentement afin de ne pas lui faire peur plus qu'il ne l'était déjà puis avec un léger sourire sortit son sabre devant lui et le planta dans le sol ou il se figea et ne bougea plus :

- Tu vois ? Y a aucune raison d'avoir peur !

Elle fit un léger sourire en coin au blond , ne sachant pas pourquoi mais elle voulait le rassurer..Comme avec sa soeur qui est si fragile. Puis elle s'approcha de l'autre garçon et dit d'une voix sifflante :

- Toi par contre je ne dis pas ! Je t'ai jamais vu ici pourtant tu n'as vraiment l'air d'un enfant de coeur ...
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Zach Keiner
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MessageSujet: Re: Un quartier ,deux personnes, et une arme ! Un quartier ,deux personnes, et une arme !  EmptyLun 24 Déc - 1:17

  • Je l'observe. Elle semble surprise de ma présence. J'ignore pourquoi, mais j'ai le sentiment qu'elle ne me fera pas de mal. Pourtant, je ne peux toujours pas bouger. Un mauvais pressentiment ? Possible. Mon regard se perd peu à peu dans le vide. Je n'ai rien d'autre à faire. Je me sens partir dans un rêve debout. Je ne dors pas, mais je sais que je manque de sommeil. Je ne me rend plus compte de ce qui se passe autour de moi. Je revois des images défiler devant mes yeux. Pourquoi n'ai-je donc jamais de souvenirs heureux ? Pourquoi ai-je subis autant de choses ? Peut-être était-ce cela qui avait provoqué cette peur en voyant la jeune fille. Peut-être.

    Un coup de fouet siffle jusqu'à mes oreilles. Je revois mon père, brandissant sa ceinture haut dans le ciel. Quant à moi, accroupis au sol, me protégeant comme je peux, je l'observe avec horreur. Un sourire sadique se dessine sur ses lèvres. Il a l'air se s'amuser. Je ne le reconnais plus. Quand j'étais plus jeune, n'était-il pas plus gentil ? Non. En ce temps-là, c'est ma mère qu'il frappait. Mais maintenant qu'elle n'était plus là, il se défoulait sur moi. Je n'ai jamais reçu de compliments. J'ai toujours entendu des insultes. Depuis, je doute. Il dit que si ma mère est morte, c'est de ma faute. Et, à mon grand malheur, je l'ai tant entendu dire cela, que j'ai fini par le croire. La ceinture claque à toute vitesse sur mon dos. Je gémis de douleur. Mais il s'en fout. J'ai mal. J'entends un rire sardonique. Il est heureux, amusé même. Je le vois se lécher les babines, pendant que je rampe pour lui échapper. Il me fait rapidement comprendre qu'il n'a pas fini en m'empoignant par les cheveux et me soulevant. Je le laisse faire, je sens un liquide chaud me couler le long du dos. Du sang. Je n'arrive pas à m'habituer à ses coups. Ils peuvent être si violents. Il me redonne quelques coups. J'hurle cette fois. Il repasse sur les marques rouges, et ouvertes. Une fois bien défoulé, il me tire jusqu'à la salle de bain et me jette dans la douche dans le moindre remord. Il s'en va. Je dois me doucher et panser mes plaies sans rien dire. Sinon, il revient à la charge. Je me contente de pleurer en silence, comme j'ai l'habitude de faire.

    Un sabre se plante près de moi. Je sursaute, et me fige. C'était la fille, l'inconnue armée. Quand s'est elle avancée ? Je ne m'en suis pas rendu compte. Je regarde autour de moi. Un nouvel individu a fait son entrée. Un jeune blond cette fois-ci. Vu son sourire et sa sucette, ainsi que sa tenue, je doute qu'il accompagne la jeune fille. Malgré cela, je reste muet. Rien ne veut sortir de ma bouche. De quoi ai-je l'air devant ces deux personnes qui semblent, l'une, amusée par la situation, et l'autre, intriguée et tout aussi amusée. Je dois ressembler à « une jeune fillette priant pour que sa mère vienne le chercher. » Mais, au final, de quoi ai-je l'air ? Je l'ignore. Mais la jeune fille semble me rassurer. Ma voix refusant de sortir, je lui adresse un sourire timide pour lui montrer qu'elle m'a convaincu. Je la vois repartir vers l'autre homme auquel elle s'adresse moins gentiment. Enfin, surtout, moins poliment. Et je doute que cette situation plaise aux deux. Je m'approche, me rendant compte que mes jambes me répondent à nouveau, et je montre doucement ma poche où se trouve le fraisier :

    « Euh... commencé-je avec difficulté. Quelqu'un veut-il du gâteau ? C'est un fraisier. Il y en avait en trop au café, alors j'ai pu en avoir... »

    Je lève le regard vers eux, attendant une quelconque réaction.
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Kévin Notame
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MessageSujet: Re: Un quartier ,deux personnes, et une arme ! Un quartier ,deux personnes, et une arme !  EmptyLun 24 Déc - 13:34




Les gestes, la parole...
Je regardais la jeune fille, elle ne semblait pas vouloir faire du mal au jeune homme. J'allais donc m'ennuyer. Gardant ma sucette en bouche, je me retournais un instant en regardant là-bas un groupe de gamins trainé par là. Je me demande bien si un jour ils vont comprendre que s'amuser ça ne sert à rien. Que tout cela est inutile. Puis je suis peut-être pas doué avec les gamins, mais je sais quand il y en n'a qui sont triste et vu leur têtes, je ne peux pas dire qu'ils le sont même s'ils sont entrain de rire, enfin bon ce n'était pas important et je m'en fichais juste un peu. Je me retournais vers la jeune fille qui venait de me causer. Ok donc elle cause au mec en étant gentil et moi je me prend quoi toute la haine du monde c'est qu'elle me cherche la petite. Je ne vais rien faire. Il ne faut rien faire. Ne pas s'énerver,je me suis toujours dit qu'il ne fallait pas taper les filles, alors je n'allais pas commencer maintenant. J'avais certes pas beaucoup de tact, mais je n'étais pas un mec qui se jette sur la première fille qui me gave. Je penchai la tête sur le côté. Elle semblait avoir du caractère la fille, mais pourquoi me dit-elle cela. Pour une fois que je ne dis rien. Que je n'insulte pas, on me sors un truc du genre et bien moi je dis que si en faisant rien je reçois toute la haine des gens. C'est que j'ai un véritable problème, quoi comme problème cela reste un mystère. Quand même sa phrase me fit sourire encore plus. Je ne suis pas un enfant de cœur non. Je frappe sans hésiter. Je frappe même les adultes quoi que mes parents je ne les frappes pas, je n'ai pas envie d’atterrir à la rue, mais ils ne servent pas à grand-chose dans cette foutue vie. Puis en faite ce quartier je le connais bien. Finalement en regardant de plus prêt je reconnais les une ou deux maisons où j'ai tagué des trucs pour faire chier les habitants.

J'ouvris enfin la bouche, je pense qu'elle va comprendre dans un sens qu'il ne faut pas me gaver de suite. Je ne veux pas paraitre trop méchant tout de suite aussi hein. Après tout je l'avoue, je ne parait pas très clean comme mec. Je suis même très louche combien de mec sorte avec qu'une simple veste quand il fait chaud ? Qui se tatoue et se fout des piercings aux oreilles. Pas beaucoup et surtout qui ont mon caractère. Je repense encore à comment on m'a traité quand j'ai commencer à être le gars le plus détestable de toute la planète. On me faisait souvent des reproches et on me rappelait comment j'étais quand je n'étais qu'un pauvre gosses qui pleurnichais. Je leurs répondais toujours que j'en ai rien à faire de ce qu'ils me disaient et que la seule chose importante était que je me sentais bien comme je suis là maintenant et qu'on avait beau me dire les chose, je n'allais jamais changer, cela n'était plus possible et temps pis pour eux.

- Tu ne regardes pas assez bien. J'squatte souvent ce genre d'quartier. Toi par contre tu devrais pas être là. C'est dangereux pour les fillette, même si elles semblent forte.

Non, je ne me fous de sa figure, c'est juste que même si on est armée, même si on est fort, il y a toujours plus fort que nous et même si on croit que cela n'est pas possible on se trompe souvent. Je ne dis pas que je m’inquiète je dis juste que franchement si elle croit qu'elle va me faire peur avec sa force, son sabre, son regard et ses paroles, elle se trompe de plus je n'étais pas là pour des embrouilles. Non, j'étais là, car en faite, je ne sais même pas pourquoi je reste encore ici vu qu'il ne se passe rien. Mon regard dériva sur le jeune homme qui venait de parler. Mais qu'est-ce qu'il raconte, manger un gâteau à la fraise en plus ici et maintenant. Non, mais il va pas bien. De plus il l'a acheter pour lui et s'il la fait ce n'est pas pour rien..puis on propose pas à manger à de parfait inconnus normalement. Enfin ça après je ne sais pas. Je ne suis pas dans la tête des gens et heureusement sinon je pense que je flipperais grave. Je fis un simple signe de la tête pour dire non, j'allais pas utiliser ma voix pour dire un "non"..puis en plus, je n'aime pas la fraise.
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Oniko Hinomoto
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MessageSujet: Re: Un quartier ,deux personnes, et une arme ! Un quartier ,deux personnes, et une arme !  EmptyLun 24 Déc - 15:14

- Tu ne regardes pas assez bien. J'squatte souvent ce genre d'quartier. Toi par contre tu devrais pas être là. C'est dangereux pour les fillette, même si elles semblent forte.

* c'est qui qu'il parle la ??? c'est de MOI ??? JE VAIS LE ...grrrrrr kep cool *
Oniko poussa un soupir : qu'es qu'il l’énervait ...puis elle eu une pensé pour sa soeur ...c'était quand qu'elle était aller la voir la dernière fois ? Ah oui il y a 2 mois , c'est trop dur de la voir avec tout ces tuyaux ....elle frémit en pensant a ça: elle était si petite ...c'était entièrement de sa faute : si elle n'avait pas était si bornée .....Oni' se rendit compte qu'elle devait avoir le visage décomposée voir triste alors elle dépêcha de retrouver sa mine boudeuse ou rageuse qui lui donnait un air effrayant puis pesant le poids de ses mots et en évitant de penser a sa soeur Oniko reprit la parole :

-Tu parle de qui la ? quand tu dis "fillette " ? a moins que tu ne parle de toi ....

Elle était la uniquement pour ce sabre !!Oni' grinça et n'entendit pas la question de l'autre blond ...Elle ne voulait pas se battre ..Pas aujourd'hui , son téléphone vibra : Un appel ! Pensant que c'était sa mère , oni' jeta un regard dessus, perdue: c'était un sms !Elle le relut 5 fois chaque fois détachant chaque mots , son visage devait avoir un air ahuris mais elle s'en fichait complètement maintenant :
@ Oniko H.
de : Hospis'
sujet : Une bonne nouvelle !
Bonjour !
Comme convenue avec vos parents , je vous envoies les nouvelles : Votre soeur vas mieux ...Son coeur recommence a battre normalement ..dans pas longtemps on pourras vous en dire plus mais vous pourrez venir demain pour la voir ...elle reprendre des couleurs ... ça fait plaisir a voir et je tenais a m'excuser pour avoir dit qu'elle était condamnée....
ps : N'oubliez pas que il lui faudra quand elle se réveillera un nouveau coeur ...et l'argent qui vas avec !
Le Docteur Juyui Karmty
Oniko était a la limite de sauter sur place : ELLE ALLAIT MIEUX !! Cela changea son humeur du tout au tout : Maintenant elle était prête a tout même le pire des pires du monde elle l'aurait couronnée !
Un sourire radieux et chaleureux brisa son masque froid et impolie: qu'importe l'autre et son caractère !
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Zach Keiner
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MessageSujet: Re: Un quartier ,deux personnes, et une arme ! Un quartier ,deux personnes, et une arme !  EmptyLun 24 Déc - 16:54

  • J'abaisse les bras. Visiblement, je venais de me prendre un vent monumental. Je détourne le regard pour cacher ma gêne. Que puis-je faire d'autre ? Personne ne veut de ce gâteau. Quoique, qui voudrait d'une pâtisserie offerte par un inconnu autre que le vendeur ? Enfin, là n'est pas le problème. Je sens de la tension entre les deux personnes qui se tiennent devant moi. J'offre un petit sourire à l'homme, montrant que je n'ai pas mal pris son refus. Puis j'observe la jeune fille ; Ce qui m'a le plus impressionné en premier, ce sont les cornes. Certes, il s'agissait d'un serre-tête, mais de loin... Non, en fait, je n'avais aucune raison d'avoir peur en la voyant avec cela. Elle porte un blouson de cuir et, en dessous, un simple haut rouge. Rien d’impressionnant. Son pantalon noir est tout ce qu'il y a de plus banal. Ainsi que ses bottes en cuir. Le cuir est souvent choisi parce qu'il tient longtemps. Je fais un pas en arrière pour avoir les deux inconnus dans mon champ de vision. Je n'ai pas confiance, en effet. Pourquoi ? Tout simplement parce que je ne les connais pas. Et même s'ils ne m'inspirent pas confiance, je ne vois pas pourquoi je devrai me montrer désagréable avec eux.

    Une sonnerie retentit. Je retiens un sursaut. Un appel ? Non, un sms. La jeune fille regarde son portable. Elle semble s'attarder sur le message. Puis un grand sourire se dessine sur ses lèvres. Il s'agit donc là d'une bonne nouvelle. Je l'observe, sans mot, puis penche la tête à son sourire. Sa vie privée ne me regarde pas. Chacun a ses problèmes. Les miens, j'essaie de les cacher. Je refuse catégoriquement les sorties à la plage ou dans les endroits où l'on se met torse nu. J'ai aussi une horreur que l'on me prenne en pitié. J'ai toujours eu cette impression d'être un boulet. Une personne que l'on ne veut pas avoir ni en tant qu'amant, ni en tant qu'ami. J'ai pris l'habitude de sourire, et de garder mes soucis bien enfermés. Je me lâche seulement le soir. Les larmes coulent d'elles même. Je me refusais de pleurer devant quelqu'un. J'ai un poids sur la conscience, je le sais. Je le sens. La mort de ma mère a tout chamboulé. Je revois le tisonnier. Je ressens à nouveau la douleur dans mon dos. Ma plus grosse cicatrice. Une énorme marque qui s'étend en travers de mon dos, partant de l'omoplate gauche pour finir au bas du dos à droite. Une cicatrice reste à vie. On ne les efface pas. Tout comme les traumatismes. La voiture encastrée dans le mur, je revois ma mère rendre l'âme dans mes bras tandis que son sang se rependait sur mes vêtements. J'ai toujours dit à mes amis, quand on me le demandait, que ma mère était partie, qu'elle nous avait abandonné. Je ne voulais pas étaler ma vie. De plus, si j'avais dit qu'elle étai morte parce que je lui avais demandé de fuir mon père avec moi, j'aurai été détesté. Je ne veux plus être détesté. Surtout pas par mes amis. Je n'en avais que peu. Et maintenant, je n'en ai plus.

    J'oublie un moment ce qui m'entoure, les yeux clos. Il y a toujours un conflit en moi ; l'un m'hurle que c'est de ma faute si ma mère est morte. Tandis que l'autre, de sa petite voix douce, me dit que je n'avais rien pu faire. Que je n'avais pas pu prévoir cela. Mais, à cause de mon père, la première voix a prit le dessous. C'est de ma faute. Je le sais. Si je ne lui avais pas dit de partir, elle serait restée, et n'aurait rien eu. Quelle idée d'être sortie par un temps pareil ! Je secoue la tête, comme pour effacer ces sombres pensées, et je reviens parmi les vivants. Je suis toujours dans ce quartier sombre. Mais je ne dis rien. Que puis-je dire ? Je ne voulais pas à nouveau gaspiller inutilement ma salive.
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Kévin Notame
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MessageSujet: Re: Un quartier ,deux personnes, et une arme ! Un quartier ,deux personnes, et une arme !  EmptyLun 31 Déc - 3:31


Elle ne savait pas à qui elle s'adressait la petite, mais je ne fis rien. Cela ne servait à rien de s'énerver, contre une personne, après tout pour l'instant elle ne montrait aucun signe de violence, donc je ne devais pas me battre même si c'était un peu tenant. Je sais très bien que c'est dangereux et je sais aussi, que ça va retomber sur moi comme d'habitue, même quand je ne suis pas en tort, c'est de ma faute, mais je ne vais rien dire après tout. Ce n'était pas bien grave. Ils semblaient tous dans leur petit monde sans importance, moi j'étais là entrain de les regarder savoir qui va finir par remarquer qu'ils sont encore dans une rue super glauque et pas du tout approprier pour faire "Hope, je me rappelle du passé" enfin la fille c'était plutôt, je viens de recevoir un sms super joyeux, vu la tête qu'elle tirait, mais ce n'était pas bien important. C'était vraiment ennuyant tout cela. S'il y avait un combat encore ça va, mais là c'était le noir complet, il n'y avait rien du tout et je me demandais bien pourquoi après tout nous sommes quand même dans un endroit où d'habitude, il y a une bagarre toutes les trente secondes et là plus rien, je crois qu'on se fout de moi, comme par hasard, j'aurai peut-être dû rester dans cette bibliothèque, mais non, je fais l'idiot en voulant rentrer, car il y a un gosse ce matin qui m'intriguait et que je sens.. qu'il va faire partir de la famille. Un mioche de plus, un seul ça ne leur suffit pas ? Il faut qu'ils aient un autre gosse, car je ne suis pas une réussite si fabuleuse que cela. Bein ils avaient, car me fournir avec un mode d'emploi utile, à la place de faire les beaux et d'adopter un autre gosse. Ce qui me sorti de mes songes, car oui fallait le dire à force de les regarder ça m'a fait plongé dans mes pensées. Donc je disais que la personne qui me fit sortir de mon petit monde était la jeune fille. Oui, je voyais son sourire idiot accrocher aux lèvres. Un sourire que je ne pouvais pas me voir. Il faisait genre trop naïf. Elle était naïf. Les personnes naïfs, je n'aime pas. Les personnes trop sensible aussi, je n'aime pas. Franchement, elle devrait effacer son sourire avant que je m'énerve, après tout elle croit qu'elle peut aborder un sourire aussi idiot là maintenant ? Elle ne peut pas le faire chez elle. Elle perdait son temps à sourire comme ça. Je lui fis remarquer d'ailleurs. Le blanc, le silence qui s'était installer était trop ennuyant. On avait certes refuser la part de gâteau du jeune blond, mais il aurait pu faire la conversation aussi. Juste parce qu'on lui refuse un truc, il se plonge dans ses pensées et ne dit plus rien. Cela est d'un ennui pas possible.

-Oh toi, la fille dont je ne connais pas le nom. Même si tu as eu la meilleure nouvelle du monde arrête de sourire comme ça. T'sais ça m'gave ces sourires là.
Depuis que la fille dont je tenais plus que tout était plus de ce monde les sourires idiots, je n'en pouvais plus. Les gens naïfs, je ne les aimais plus. Tout ce qui était mignon me gavait. Enfaite depuis qu'elle est partie tout ce que j'aimais et ce qu'elle aimait sont partis avec elle. Ils ne vont plus jamais revenir et je compte bien ne pas les faire revenir. Elle est partie, alors qu'elle garde ce que j'étais avec elle. Je suis tout sauf d'accord sur le fait que je dois rester pareil, tout gentil tout mignon, alors qu'elle n'a pas tenu sa promesse, ce n'est certes pas de sa faute, mais elle aurait pu faire quelque chose. Je ne dis pas qu'elle est une surhumaine, enfin était, mais franchement, ce qu'elle a fait c'est impardonnable et jamais, je ne pourrais oublier.
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Oniko Hinomoto
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MessageSujet: Re: Un quartier ,deux personnes, et une arme ! Un quartier ,deux personnes, et une arme !  EmptyLun 31 Déc - 14:14

-Oh toi, la fille dont je ne connais pas le nom. Même si tu as eu la meilleure nouvelle du monde arrête de sourire comme ça. T'sais ça m'gave ces sourires là.
Ces paroles qui eurent le don de l’énerver clairement , n’entachèrent pas la joie qu'elle avait de savoir que sa soeur aurait une deuxième chance dans la vie .....
- qu'es que ça peut te faire si je suis contente ?? pfff !!c'est pas de ma faute si t'es vénère !Alors arête de t'en prendre aux autres !!
Oni' était toute a ses pensées lorsqu'elle remarqua la tête du blond hargneux: énervée , en colère en bref il devait détester les sourires au autre marques de joies.... Elle aussi d'habitude et ce n'est vraiment pas chez elle qu'elle aurait pus faire ça : sa mère ayant pris l'habitude de l'ignorer la tenant officiellement comme coupable de l'accident de sa soeur et son père qui avait pris la décision qu'il ne voulait plus rien avoir a faire avec elle ...Il n'y avait que sa soeur qui mettait de la joie et de la bonne humeur dans cette maison triste comme un enterrement au quotidien ... Mais maintenant sa soeur n'était plus la ! Aussi oni' prit la décision que rien ne l'arreterais tant qu'elle n'aurait pas sauver sa soeur ...bref elle aurait un nouveau coeur avant la fin du mois !
Toute a ses pensées Oniko entendit a peine le bruits de pas précipité qui venait pourtant dans leur direction ... Alors elle se retourna aussi vite qu'elle put pour voir un homme assez âgé arrivée ....

(voila j'ai écrit ma réponse en fonction que le père puisent venir mais après sinon je change si y a pas le père qui viens mettre l'ambiance !)
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MessageSujet: Re: Un quartier ,deux personnes, et une arme ! Un quartier ,deux personnes, et une arme !  EmptySam 5 Jan - 13:13

  • En revenant à la réalité, je vois que le jeune homme semble ennuyé par la situation. Comme s'il s'était attendu à autre chose. Voyant la tête heureuse de l'inconnue, il semble même énervé. Comme si cela lui tapait sur les nerfs. Je préfère les observer et ne rien dire. J'avoue avoir peur de me mêler à leurs histoires. Il n'a pas l'air commode et je pense qu'elle, il ne faut pas trop l'embêter. Je m'éloigne légèrement tandis que le blond s'attaque verbalement à la brune. Celle ci lui répond après une légère pause. Je préfère ne pas m'incruster dans leur dispute. Je les regarde passivement se chamailler. La fille aux cornes semble heureuse et énervée. Paradoxal, non ? Je me retiens de soupirer. Voilà que je m'ennuie à mon tour. Je pourrai partir, oui. Mais quelque chose m'en empêche.

    Soudain, la jeune fille est attirée par quelque chose derrière elle. Je la vois se retourner, curieuse. J'entends alors des bruits de pas. Quelqu'un cours. Ses pieds martèlent le sol même. Je m'ennuie tant que je me surprends à essayer de deviner s'il s'agit d'un homme ou d'une femme. J'ai l'impression qu'il se dirige droit vers nous. Et le bruit que font ses pas indique qu'il s'agit, soit d'un homme, soit d'une femme forte. Je me décide enfin à me retourner, amusé par la situation. J'ai raison. C'est bien un homme. Et, à ma grande surprise, il court bel et bien vers nous. Echappe-t-il à quelqu'un ? Non, il ne regarde pas derrière lui. Plus je réfléchis, et plus sa démarche me rappelle quelque chose. Ses yeux sont rivés sur nous. Il fait sombre, et je le distingue assez mal. Il traverse un rayon de lumière, qui a réussit à se faufiler entre deux vieux immeubles. C'est avec horreur que je découvre un homme de grande taille, brun, plutôt baraqué. Son visage fait assez peur à voir. Son expression est déformée par la colère, la rage, la haine. Enfin, tout ce qui est négatif. Il s'arrête à quelques mètres du groupe, et semble m'observer. J'écarquille les yeux en reconnaissant mon père. Cet être que j'avais fuit m'a retrouvé.

    Mais comment ? Je me souviens que si je suis venu dans cette ville, c'est parce que mon meilleur ami avait déménagé ici. Mais en arrivant, j'ai découvert qu'il avait à nouveau changé de ville. Avant, nous correspondions par lettres, mais rapidement, je n'en reçu plus une. Je soupçonne mon ascendant d'avoir caché mon courrier pendant des mois. Il ne veut même pas que je garde des souvenirs de ma mère. Et, étant homophobe, il a découvert ce que j'étais et me déteste encore plus. La personne qui se tient en face de nous n'est, pour moi, pas humaine. C'est un monstre de la pire espèce. Il veut me faire souffrir avec lenteur. Il aimerait me voir agoniser. Je gémis après avoir déglutit avec difficulté, et il sourit. Une large sourire qui semble ravi de me revoir. Ravi de me faire à nouveau subir les pires tortures qu'un enfant imagine. On me dit souvent qu'on ne peut détester ses parents, car ils nous ont donné la vie. Mais avec un père comme ça, on ne peut rien faire d'autre que le détester.

    Il m'appelle. Il hurle mon nom ? Je ne sais pas. Tout semble coupé autour de moi. Je n'entends rien d'autre que les battements rapides de mon coeur. Mon souffle s'accélère. Mes jambes refusent de bouger. Elles tremblent. Elles vont me lâcher. Mon père s'avance avec un grand sourire que je pourrai qualifier de sadique. Il se met à courir. Et quand il est tout proche, mes jambes m'obéissent enfin. Mais, le temps de me retourner et me mettre à courir, il m’assène un grand coup dans les côtes qui m'envoie valser contre un mur. Le souffle coupé, je lève un regard vers les deux inconnus. Je doute que le blond prenne part à la bagarre. Mon ascendant les observe à son tour. Et c'est plutôt du genre à ne pas vouloir de témoin. Je crois le voir se lécher les babines devant la jeune fille.
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MessageSujet: Re: Un quartier ,deux personnes, et une arme ! Un quartier ,deux personnes, et une arme !  EmptyDim 6 Jan - 17:10

Je regardais la jeune fille une fois de plus. On était plus en train de se disputer que de s’occuper de l’autre gars qui semblait s’ennuyer lui aussi. Elle me répondait. C’était amusant en fait. Enfin quelqu’un qui répond sans se la fermer et se dire que ça ne vaut pas la peine de répondre, je me dis que parfois la vie est bien curieuse, j’allais répondre à sa réplique, mais elle semblait déjà occupée par quelque chose. Des pas. Une personne venait. Elle semblait courir. Tout d’un coup, je me dis que peut-être il va y avoir quelque chose. Cette personne fuit-elle quelqu’un ou elle court juste pour le fun ? Comme dirait certain, moi je ne sais pas, mais plus elle s’approchée, plus je me disais que c’était l’un d’entre nous qu’il cherchait. Les traits de la personne au loin se dessinaient et on pouvait se douter que c’était un homme. Un homme bien pressé. Je ne descendais pas de mon perchoir. Non, pour l’instant je voulais voir ce qui se passait. On dirait qu’il était en colère le monsieur. Je me demandais bien ce qu’il voulait, surtout qu’il ne regardait pas la jeune fille ou moi, mais l’autre blondinet. Bon ok, je sens que le gars en bas et le genre de mec à avoir des problèmes. On pourrait presque croire que c’est son père le mec. Il a fait une fugue ? Non, il ne semble pas être quelqu’un qui fugue et qui resterait là comme un idiot, à moins que oui, il ait peur. Surement ça. Je n’étais pas très fort niveau relation « papa et fils. » car moi-même mon père, je m’en foutais largement. Je penchais la tête sur le côté. L’homme venait de faire quoi à l’instant même ? Si je ne rêvais pas, il venait de frapper l’autre gars ? Bon ok, donc il avait une dent contre lui. Là on ne pouvait pas le nier, mais je n’aimais pas ça en fait. Un gars plus vieux qui frappe un gars plus jeune non ça ce n’est pas cool. Je frappe tout le monde, mais lui, il est vieux bon sang, faut pas abuser, puis je n’aimais pas aussi sa façon de se « lécher les babines » devant la jeune fille. Cela me faisait penser à mon père quand il fait ça devant ma mère quand il veut faire un truc louche et j’en passe bien sûr. Je me levais enfin et je fis un bon pour atterrir par terre. Je ne pouvais pas rester là et ne pas participer à cette pseudo bagarre, qui ne semble pas en être une en fait, vu que l’autre ne semble pas se relever.

-Oh mec, j’sais pas c’que tu veux à c’pauvre gars, mais faut t’arrêter puis…puis c’que tu viens d’faire là en regardant la jeune fille, tu t’arrêtes tout de suite, sinon j’te fais manger ta langue compris ? Puis aussi quand on est poli on dit bonjour et on ne frappe pas !

Non, pas que je voulais protéger la fille, loin de là, mais je n’aime pas quand les gens se conduisent ainsi surtout quand ils sont comment dire adultes et qu’ils savent que ce comportement n’est pas vraiment approprié pour ici. Enfin ce n’était pas le plus important. Puis je sais que ma réplique de il faut être poli sonne faut dans ma bouche, mais bon comment dire ça sans paraitre idiot, ça me gave les gens comme ça, même moi je suis plus poli et niveau je fracasse tout et insulte, je dois être dans le top 10. Enfin bon comment dire, je crois que monsieur n’est pas contente vu le regard qu’il me lance. Non, mais il me cherche lui ? Sérieux, je devrais lui en décoller une ? Ah, mais pourquoi je le fais pas ? Je suis bête ou quoi ? Non, enfin bon ce n’est pas le moment de penser à cela. D’abord éloigner les personnes qui ne vont rien foutre dans ce qui va se passer la maintenant. Bon regardons.. Bah je crois qu’il y a que le gars à terre. Je m’approchai donc vite fait vers lui, mais on dirait que l’autre n’était pas d’accord. Il voulait m’empêcher de prendre le blond. Ok bon pas qu’il m’énerve, mais bon il m’énerve, je lui fis un truc sans vraiment faire mal, car bah faut que j’analyse la situation, je lui mis un gros coup dans les jambes, cela ne semblait pas beaucoup lui faire mal, mais c’est un début, il a été un peu déconcentrer, je pris le blondinet à terre et je le mis un peu plus loin.. Il devait avoir mal et d’après moi je ne pense pas que ça soit le premier coup qu’il se reçoit dans la figure.
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Oniko Hinomoto
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MessageSujet: Re: Un quartier ,deux personnes, et une arme ! Un quartier ,deux personnes, et une arme !  EmptyLun 7 Jan - 16:59

Oni' vit le blond au avait l'air fragile se mettre à trembler , elle ne comprit pas la raison de cet état mais ne lâcha pas du regard le type qui courrait vers eux ... Elle vit le blond essayer de s'enfuir BEAUCOUP TROP TARD ! Il se pris un coup dans les cotes , se fut violent et bref .
Oniko cligna des yeux : il était très rapide ! Pourquoi avait-il frapper l'autre ?
Sont-les de la même famille ?? Sans doute ! Peut être était t-ils père et fils qui sais ?
En tout cas c'était ignoble de frapper quelqu'un comme ça ! Son regard passer du blond par terre ,
au sale type et elle le vit le pourlécher les babines en La REGARDANT ELLE !!
Cela la dégoûta et l'énerva au maximum, elle regrettait de ne pas avoir son sabre sous la main : elle l'aurait découper en rondelles !!
Elle entendit alors l'autre blond prendre sa défense , dire un truc sur la politesse qui paraissait risible venant de lui puis il s'approcha du blond pour essayer de le relever mais s'arrêta car l'autre se semblait pas content du tout .
Oniko fonça sur le type qui l'évita au dernier moment , cela l'énerva encore plus .
Elle releva la tête et croisa le regard du type : un regard de tueur ! Un de ces gens qui pourrait vous tuer par derrière sans remords ...
Oni' jeta un œil sur son sabre , puis elle se releva ,sortit son téléphone ..pour appeler la police ? Non ! Elle ne venait plus ici ! Elle se contenta de regarder l'heure 12 h 30...elle avait encore le temps de massacrer l'autre avant de devoir aller voir se sabre temps attendus ! Puis elle le rangea dans sa poche et lança un regard noir au type :
- Qui que tu soit ! On n'envoie pas les gens contre les murs à moins qu'il ne soit la pire des ordures ....comme toi quoi !
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Zach Keiner
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MessageSujet: Re: Un quartier ,deux personnes, et une arme ! Un quartier ,deux personnes, et une arme !  EmptyLun 7 Jan - 21:37

  • Que s'est-il passé ? Ma vision se floute soudainement. J'ai mal au crâne. J'essaie de me relever, en vain. J'ai du mal à respirer. Peu à peu, j'ai l'impression que mes idées s'éclaircissent. Mon souffle s’accélère alors que les images de dernier moment défilent devant mes yeux. Je le revois. Je revois son sourire avant de me frapper. Et toute cette haine dans les yeux, mélangée à du sadisme pur. J'ai de nouveau peur. Mon corps se fige et tremble à la fois. Cela me fait mal. Mais je ne peux rien faire. Ma tête a heurté le sol après le coup reçu. Je relève la tête. Ma vision ne veut toujours pas redevenir nette. Je vois des silhouettes au loin. Mais je n'entends que les rapides battements de mon coeur. Il est en face. Dos à moi. Je veux fuir. Il est sans pitié. Il pourrait s'attaquer à ces inconnus juste parce qu'ils ont été témoin de sa violence. Violence qui doit rester secrète. Je ne vois pas son visage. Je veux m'enfuir. Au moins, ramper vers un endroit sans danger. Mais je ne veux pas les laisser. Je ne les connais pas, mais cela ne se fait pas de les mettre en danger et de fuir lâchement.

    Le blond semble réagir. Ma vision est devenue plus claire. Je lève les yeux vers lui. Il ouvre la bouche. J'entends ses paroles. Quoiqu'un peu lointaine. Il parle avec politesse, à ma grande surprise. Je suis ravi qu'il n'essaie pas de le provoquer. Mais les mots qu'il a laissé échapper de sa bouche n'arrangeront rien. Il l'a, peut être inconsciemment, énervé. Voilà que le jeune homme s'avance vers moi. Je prie pour qu'il ne se joigne pas à mon père. Mais cela ne semble pas être le cas. Il lui assène alors un coup dans les jambes. Je manque de couiner. Personne ne s'était interposé comme cela quand mon père était dans le coin. J'en reste bouche bée. L'inconnu se dirige vers moi, et m'emmène plus loin. Au début, j'eue peur de recevoir un coup. Ce n'est pas contre lui non. Mais après toutes ces années de souffrances, mon réflexe était de me recroqueviller et de protéger tout ce qui pouvait être sensible à mon goût. Mais je me détends rapidement en me souvenant que la personne proche de moi à cet instant n'était pas mon père. Je le regarde en me remémorant ses paroles :

    « Fuis, lui murmuré-je à l'oreille. »

    Je ne voulais pas que mon père leur fasse mal. J'entends des pieds qui martèlent le sol. Je vois que l'inconnue s'est précipité sur mon père. Mais il la évité au dernier moment en une grimace ennuyée. J'écarquille les yeux. Elle n'aurait pas dû faire cela. Fort heureusement, elle semble s'être calmée. Je ferme les yeux un court instant. Je veux fuir. Mais mes jambes refusent de m'obéir pour le moment. Elles tremblent. Elles sont tétanisées. Horrifiées par le fait qu'il m'ait retrouvé. Je rouvre mes yeux, et me relève avec difficulté. Je vois mon père foncer droit vers moi. Ou vers le blond. Je ne sais trop. Ma tête tourne. Je me suis relevé trop vite. Quoiqu'il en soit, je dois le prévenir :

    « Derrière toi, dis-je en un cri horrifié. »

    Je peux avoir des réflexes de femme. Mais en cet instant, rien ne compte. Je n'aime pas être jugé, oui, je l'avoue. Mais si je n'avais pas crié. Si je n'avais pas prévenu... Que serait-il passé ? Aurait-il asséné un coup au blond ? Car oui, finalement, c'est vers lui qu'il se dirigeait. Après tout, c'est lui qui lui avait répondu en premier. Il s'occuperait ensuite de la fille. Et sans pitié.
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MessageSujet: Re: Un quartier ,deux personnes, et une arme ! Un quartier ,deux personnes, et une arme !  EmptySam 19 Jan - 14:17

J'avais déposé le jeune homme tandis que la fille s'attaquait à l'autre gars. Mais il l'esquivait. C'était à prévoir. Il ne semblait pas facile de le battre le vieux, mais bon on peut toujours tenter et si jamais on n'y arrive pas. On va devoir faire ce que je n'aime vraiment pas. Fuir comme des idiots, oui ce n'est pas bien de fuir et pourtant dés fois, cela nous sauve la vie, mais peut-on toujours fuir ? Nous ne pouvons pas tout simplement faire ce que nous devons faire. Ce battre et même si on doit mourir ou finir blesser, il faut terminer un combat. Moi perdre ou gagner ça n'a pas vraiment d'importance. Tout ce que je veux c'est qu'on ne m'insulte pas. Qu'on ne fasse pas n'importe quoi et qu'on ne déclenche pas de bagarre devant moi s'ils veulent s'en sortir. Bien sûr là, le cadre de la bagarre n'en n'est pas vraiment une. Oui, je pense que c’est plus un simple jeu stupide lancé par le vieux, car il veut avoir le blondinet, mais jamais on fera ça. Enfin d’après ce qu’on a vu ce n’est pas un tendre l’homme. Je me retournais vers le jeune homme. Il venait de me parler, ce n’était pas cool ce qu’il disait. Moi fuir ? Non pas pour l’instant. Je n’ai pas envie. Ce n’est pas drôle de fuir. Enfin d’après moi fuir ce n’est pas bien quand on a peut-être des chances de gagner. Un cri me fit sortir de mes pensées. Derrière moi ? Ah effectivement ça serait bien que je bouge un peu. J’esquivais de justesse l’homme. Sérieusement il a l’air de frapper fort le monsieur. Je ne sais pas si nous pouvons dire que nous pouvons le battre, mais nous pouvons essayer, il faut que le blondinet fuit comme ça. On est sûr qu'il n'y aura pas de blesser dans cette vie, dans ce monde, il y a toujours un problème parfois on peut les régler parfois non. Nous pouvons vivre parfois non. On peut toujours faire quelque chose ou pas. Je pense que cette fois-ci, il faut que j'aide et que je me taise. Aider le blond est une bonne idée, mais il ne faut pas finir blesser puis il faut aussi savoir ce qu'il a contre le blond l'autre mec. Je ne sais même pas pourquoi il attaque. J'espère qu'il a une bonne raison, enfin non, cela ne se fait pas vraiment. De plus il a l'air plus que terrifier le jeune homme derrière moi. Ce qui me laisse penser pleins de chose. Enfin bon ce n'était vraiment pas le moment de penser à des choses pareilles. Fuir. Faut faire fuir le garçon façon ninja cela veut dire avec toute la discrétion du monde. Mais je ne sais pas comment faire. Oui, il faut occuper l’autre homme, mais aussi faire fuir l’autre. Cela risque d’être compliquer à part si on fait tout en même temps. Enfin la fille s’occupe du blond ou du vieux, moi soit du vieux soit du jeune homme selon la solution qu’aura choisi la fille et le tour sera jouer. Je n’avais pas vraiment le temps de penser à cela. Oui, l’homme était déjà d’attaque. Il me fallait quelque chose et vite. Quelque chose de pas trop dangereux. Il ne fallait pas le tuer, je pense que ça serait vraiment idiot après tout, je ne veux pas me faire poursuivre pour meurtre, même si je pense que ce gars il s’en bat s’il nous tue ou pas. Je ne sais même pas pourquoi je cherche à aider, après tout qu’est-ce que cela va me rapporter ? Rien du tout. Je ne veux même pas me battre, mais maintenant que le « jeu » est lancé, il faut que j’aille jusqu’à la fin. Une fin qui promet d’être intéressante. Je faisais quand même attention au jeune homme derrière moi.

« Moi fuir ? C’est mal me connaitre blondinet. Toi je pense que tu devrais fuir par contre. On te protège. Je pense que si tu es discret on va pouvoir le retenir, mais ne t’arrête surtout pas et met toi dans un endroit sûr. »

Je donne des conseils depuis quand moi ? Je ne sais pas puis ce n’est pas le moment de penser à ça, enfin je crois. Du blabla inutile. Je regardais ce que faisait la fille. Un soupire sorti de ma bouche, la fille en question regardait son portable. Franchement est-ce le moment de faire une chose pareille ? Je ne pense pas. Enfin bon ce n’est pas bien grave. L’homme revenait déjà à la charge et je pense que c’est le moment de bouger de là, car s’il me touche et il touche aussi l’autre blond et je ne pense pas que c’est le but du truc la maintenant, enfin je crois. Oh puis zut. Je pris l’autre blond et avant que le gars nous touche. Ce qui est passer vraiment prêt on était déjà derrière lui.. Je voyais bien qu’il ne pouvait pas courir, mais il le fallait. Sinon on n’allait pas s’en sortir.

« Tu peux courir au moins ? »

Question idiote. Comme d’habitude. Venant de moi ce n’était plus une surprise.
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MessageSujet: Re: Un quartier ,deux personnes, et une arme ! Un quartier ,deux personnes, et une arme !  EmptySam 26 Jan - 13:18

Oniko eu un sourire en voyant le type foncer foncé sur les deux blonds . Parfait ! Il fallait le déconcentré !
Le blond qui avait des piercings pris l'autre et l’emmena loin ... Il fallait le mettre a l'abri avant de lâcher le fauve !
Elle allait se charger de distraire le sale type pendant que les deux autres allaient partir ! C'était ça ! Au pire, elle a des "amis" ici ... Enfin si on peut les appeler comme ça ! C'était surtout des grosses brutes a motos crosses avec des barres en fer .... Barres en fer ! Il y en avait beaucoup ici , ça craignait si il en prenait une !
Oniko re-courut vers le type , le visage fermé . Il se retourna mais un instant trop tard : elle lui avait faucher les jambes et il s’écroula comme une masse au sol , cela lui arracha un sourire avant de réaliser son erreur : elle l'avait mis juste a porter de ses chevilles ... Et de son sabre ! Elle jura en japonais en le voyant saisir le sabre qui était assez lourd ! Cela pouvait être un avantage ! Quoique ... Rien n'est sur ! Oni' eu un saut de recul : C'était le moment ou les deux blonds devaient se casser ! Ce type était vraiment dangereux ! Le type s'approcha en comprenant même si il était assez lourd , il était curieusement maniable ... C'est pour ça que c'était l'un de ces sabres préférés ! Il fit des mouvements de moulinets dans le vide , s'approchant d'elle au fur et a mesure qu'elle reculait : réalisant que elle n'a strictement rien pour se protégez de cet homme malsain ! Elle avisa une barre en fer ... Trop loin ! Oni' pouvait se jeter dessus pour l’attraper mais elle n'avait que 1 % de chance de l'avoir sans s'écraser au sol comme une ... hm ! Elle évita de justesse un coup qui n'aurait pas manquer de lui marquer le visage d'une grande cicatrise . Qu'es qu'elle pouvait faire a part éviter ? Si elle essayait d’attraper la lame , elle allait se tuer les mains ... Et pas que !
Oniko sentit un truc dur dans son dos : Le mur ! Déjà ? L'autre eut un très grand sourire qui ne disait rien de bon ... Elle était prise en sandwich ! Ça craignait ! Et les autres qui n'avaient pas bougeaient ! Elle reconnaissait que c'était pas une si bonne idée ... Et qu'elle allait se faire massacrer ! Oni' sentit la lame sur son cou ... C'était froid voir glacial ! Il lui sembla que tout avait un goût de ténèbres ... Le reste n'existé plus . Il ne restait qu'elle avec ce type qui pointait son propre sabre sur sa gorge ! La sabreuse avala sa salive qui soulagea quelque peu sa gorge qui était brûlante et sèche . Avait-elle peur de ..la mort ? Pourtant elle l'avait côtoyer si souvent ... C'était une sensation bizarre pour elle ..... A moins qu'elle est peur de ce type ! Il pourrait la tuée si facilement ... Oni' pensa a sa soeur : Avait-elle eu cette sensation avant de tomber dans le coma ? Mais si elle mourrait maintenant : c'en était fini de cet espoir ! De la revoir sourire un jour ! Non ! Elle ne pouvait pas baisser les bras si facilement ... Jusqu'au bout ! Saisissant un moment d’intention de sa part , elle se pencha sur le coté et par un heureux hasard , elle se retrouva derrière le type qui se retourna apparemment pas content que sa cible lui échappe et avant que Oniko esquissa un mouvement , elle se prit un coup de pied dans le ventre ce qui la projeta quasiment tout près des blonds .
Elle sentit un liquide chaud et épais envaillir sa bouche et couler de sa tête . Sa tête tournait un peu : le choc avait était violent ! le type s'approcha et commença a se défouler en coups de pieds sur Oniko qui ne dit mot : Ne pas montrer ces faiblesses ! Elle l'avait appris a force de se disputer avec ces parents ! Oni' cracha un peu de sang ce qui parut ravir l'autre , bien que crachant du sang et dans un sale état Oniko ne put la fermer :
- Je .. Deteste les gens comme toi ! qui se croit au dessus de tout le monde tout ça parce qu'il ont une parcelle de pouvoir ... Et qui cache tout devant les autres pour faire " clean " Vieu Con va !


Dernière édition par Oniko Hinomoto le Dim 3 Fév - 13:55, édité 1 fois
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Zach Keiner
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MessageSujet: Re: Un quartier ,deux personnes, et une arme ! Un quartier ,deux personnes, et une arme !  EmptySam 26 Jan - 15:57

  • Je regarde le jeune homme, il semble si sûr de lui. Mais j'hésite. Devrais-je les laisser se battre pour moi ? Alors qu'il m'aide à éviter un coup, il me demande si je peux courir. Je baisse les yeux vers mes jambes. Elles sont toutes tremblantes et je les sens à peine. Je ne pense pas être en état, mais qui ne tente rien, n'a rien, non ? J'essaie de me relever. Je retombe. Je ressaie, en vain. Je suis un poids. Je lève le regard vers le jeune blond, un regard désolé, et paniqué. Je secoue la tête, impuissant. Je ne peux rien faire. Je ne sais pas me battre. Je suis paralysé par la peur. Je ne peux protéger personne. Je vis cela depuis mon enfance, que je ne qualifierai pas de tendre. Je déglutis avec difficulté, et, sans quitter l'inconnu des yeux. J'hésite un moment et gémis à voix basse :

    « Je ne veux pas que mon père vous fasse du mal à vous aussi, dis-je les yeux au bord des larmes. »

    Je ne veux pas pleurer. Je ne dois pas pleurer. Je ne dois pas me montrer encore faible. Mais j'en ai juste assez. A chaque fois que je vais à un endroit, il doit me pourrir la vie. Me la briser comme j'ai, soit disant, tué ma mère. Et même si j'essaie, au fond, de dire le contraire, la vérité prend toujours le dessus. J'ai mal au coeur. Il m'a retrouvé. Et maintenant ? J'ai réussi à vivre sans le moindre coup pendant quelques mois. Et, j'avoue que ce fut un véritable bonheur. J'avais enfin des amis, une vie, une famille ! Et voilà que mon père revient et vient tout détruire. Il savait si bien le faire. Détruire. Mon espoir a disparu. Je détourne le regard du jeune homme, pour pouvoir voir ce que faisait la fille. Elle est coincée. Bloquée. J'essaie à nouveau de me relever. En vain. Ma gorge me fait mal tant je me retiens de pleurer. Je me suis juré de ne plus pleurer devant les autres. De ne plus me plaindre auprès d'eux :

    « Arrête ! crié-je de ma voix tremblante. »

    Il semble avoir été troublé. Dérangé par ma voix. Son regard se tourne vers moi. Il me lance des éclairs. Je gémis en le voyant m'adresser un grand sourire. Mais, fort heureusement, la jeune fille réussi à se débarrasser quelques instants de son assaillant. Elle n'est pas assez rapide. Après tout, mon ascendant tient son sabre. Je sursaute lorsqu'il lui assène un coup de pieds dans le ventre. Elle a dû avoir le souffle coupé. Arrête. Par pitié, arrête. Je regarde mon père avec horreur et impuissance. Que puis-je faire ? A cette vitesse, l'inconnue risque d'avoir de graves séquelles. Et j'ignore tout du blond. De ce qu'il pense. Il semblait ravi de voir des personnes en arrivant, et, lorsque mon ascendant est arrivé, il m'a aidé. Je ne sais que penser de lui. Mais je ne pense pas de mal de cet homme. Qu'importe ce qu'il allait faire. Je lui devais une fière chandelle. Et la jeune fille m'aide aussi. Je ne sais pas me battre. Je ne sais rien faire. Je suis un poids, un bon à rien.
    Je gémis en le regardant faire. Le temps semble s'être ralenti. Une partie de moi m'hurle de fuir, mais l'autre partie refuse de bouger. Une larme se met à ruisseler sur ma joue. Je ne veux plus voir des personnes souffrir à cause de cet individu. Je ne le supporte plus. C'est trop de mauvais souvenirs. Je finis par réussir à me relever, certes avec difficulté, mais au moins, je suis debout. Je me jette sur mon père et tente de le maintenir au sol. En vain, bien sûr. J'utilise alors ma technique contre les assaillants baraqués. Le bon vieux coup de pieds dans les burnes. Je l'entends émettre un grognement mais il se relève sans me lâcher pour autant. Je me débats un moment, et en entendant mon t-shirt se déchirer, me ravise et m'accroupis. Encore une fois, mes craintes prennent le dessus. Ce dos couturé de cicatrices mal refermées était à découvert. Je gémis et relève la tête vers lui :

    « Arrête, je t'en supplie. Je sais que c'est pas ton genre, mais, laisse les repartir. Je te promets de rester avec toi. Tu pourras te défouler sur moi en rentrant, dis-je en me rendant compte que mes arguments étaient clichés. De plus, je ne les connais même pas. Ils ne pourront pas porter plainte. Et il fait trop sombre pour distinguer les traits de ton visage. Mais, s'il te plait, laisse les. »

    Je me suis mis à genoux pour qu'il les laisse. Mon père m'empoigne par les cheveux et me relève en me regardant sévèrement. Je ferme les yeux avant de sentir un puissant coup de poing venir se loger dans mes côtes. Je tousse pour faire revenir ma respiration, mais cela fait qu'empirer la chose. La douleur était intense, comme s'il avait renfermé sa colère dans un seul coup. Je me mets à cracher du sang au sol alors qu'il me laisse tomber comme une vulgaire chaussette. Ma vision se trouble à nouveau. Mais la seule chose que je voudrai savoir c'est s'il va les laisser partir. Car, malgré les apparences, il avait l'air ravi de ma réaction.
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Kévin Notame
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MessageSujet: Re: Un quartier ,deux personnes, et une arme ! Un quartier ,deux personnes, et une arme !  EmptyDim 3 Fév - 23:19

Je regardais tout le monde. Ils étaient tous à terre et l'homme tapait. Il n'avait pas honte. Honte de taper une jeune fille, qui d'ailleurs c'est jeter sur lui sans savoir si elle allait pour l'esquiver s'il ripostait. Le blondinet qui disait d'arrêter, mais sont-ils idiots ou quoi ? Je ne savais pas comment réagir d'habitude, je casserais la figure à tout le monde même aux innocent à vrai dire, mais là, je ne savais pas quoi faire. Il semblait si fort et pourtant je sais qu'il doit avoir un point faible. Mais je ne le trouvais pas. Est-ce qu'il serait invincible, car il était beaucoup plus vieux que nous ? Peut-être, mais c'est une possibilité à mettre entre parenthèse, car tout être humain a un point faible, il faut juste étudier la personne, mais je ne pense pas que j'ai le temps d'étudier chaque personne ici présente, si je devais faire un bilant, je devrais dire qu'il y a un gars qui  frappe tout le monde pour récupérer un blond qui semble avoir plus que peur tandis qu'une jeune fille se jette sur le mec sans savoir s'il est armée ou pas et qui sourit comme une idiote devant son portable, je pourrais dire que c'est une belle brochette de neuneu.  Puis je sortis de mes pensées en entendant des cries encore. Ah maintenant il veut qu'il nous laisse ? Qu'il reparte et pouf il ne s'est rien passé ? Mais il est vraiment dingue, puis même si on le connait pas le gars, il croit qu'on ne va pas porter plainte ? Personnellement si on regarde bien, la plupart des gens portent plainte, alors qu'ils ne connaissaient la personne ni d'Adam, ni D'Eve donc sa logique tombe un peu à l'eau, bien que moi et la police ça fait trente.  Je commençais sérieusement à m'énerver.  Alors que l'autre venait de se prendre encore un coup. Je me mis à hurler.

"Non, mais ce n'est pas bientôt fini tout ça ?! Bon sang toi le vieux con de mes deux qui sort de je ne sais où, tu t'es cru chez ta mère ou quoi ? Tu crois que tu peux venir et casser la figure à tout le monde. Tu t'es dit quoi. Tiens tiens si je venais dans ce quartier et je cassais la gueule à tout le monde ça serait tellement drôle. bah déjà tu te trompes. Si tu as un problème colère ou que tu ne peux pas te voir le blondinet, ce n'est pas notre problème ok ? C'est soit tu dégages soit j'te refait le portrait avec un barre en fer. Puis on t'a jamais dit qui ne fallait jamais frapper une femme ? Donc à moins que tu es un problème de vu, tu viens d'en frapper une. Puis on ne tape pas plus faible que soit. Et là aussi si tu as un problème de vu, tu viens de le faire. Alors je te conseil d'aller voir ton médecin. Alors si tu permets j't'embarque les deux."

Mais bien sûr que non, il ne va pas me laisser partir, mais l'espoir fait vivre il parait, alors j'ai bien voulu essayer. Donc avant de se prendre un coup faudrait peut-être que je dégage de son chemin. Hop, un petit tour sur le côté et un autre, c'est qu'il va vite le vieux. Bon ok, j'avoue qu'une personne qui est plus âgée que toi est forcément un peu plus fort que toi, mais quand même. Je me stoppa net sur place et attendit qu'il vienne et là un bon coup bien placé et fort. -Non, pour le blesser, mais pour le déconcentrer.-  et hop une fille que je relève et l'autre gars que je regarde.

"Bon soit j'me casse en vous laissant, mais ça serait con. Soit j'vous embarque chez moi et là, je crois qu'on s'la fout mal aussi, mais moins grave qu'ici...la fille si tu peux marcher et éviter de cracher du sang aide moi à le porter sinon bien j'vous porte, mais vous garanti pas la vitesse grand v hein."


Non, je ne fais pas de l'humour, je fais ce qu'on appelle la réalité. Je ne veux pas prendre de grand risque, mais les laisser crever là, alors que je suis témoin, ça me fout mal. Genre je serais témoin 'un meurtre et je ne porterais pas secours à autrui, c'est carrément un crime ça. Oui, bien que cela soit bizarre je connais le droit et je sais que de ne pas porter secours à autri et en plus de cela je serais complice, ça vaut une belle amende et prison.
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Oniko Hinomoto
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MessageSujet: Re: Un quartier ,deux personnes, et une arme ! Un quartier ,deux personnes, et une arme !  EmptyMar 5 Fév - 13:46

Oniko vit la scène comme en ralenti . Sans doute A cause la perte de sang , le choc avait était assez violent...
Elle avait vu le blondinet parler : arrêté ? les laisser partir ? Il était en train de dire que on porterez pas plainte ?? Il rêve purement et simplement ! De toute façon : Oni' ne les laisserait pas partir ! C'était dit ! L'autre vieux l’attrapa par les cheveux mais oniko ne vit pas ce qu'il fit : sa tête lui lança et elle ferma les yeux : Bordel ! ça faisait mal ! D'habitude c'était plus facile ... Pourquoi ? Parce que ceux qu'elle fracasser d'habitude n'avait pas l'age d'être père ? Quoiqu'il en soit , ça craignait ! Autant pour le blondinet que pour eux si ils restaient la ... Tient l'autre blond avait crié quelque chose qu'elle n'avait quasiment pas entendu . Elle remarqua que le blondinet était recroquevillé sur lui avec son T-shirt dans un sale état et sur son dos .... Des traces de coups divers et de longues cicatrices . C'était ce sale type qui avait fait ça ? Comment pouvait-on être si inhumain ? C'était juste de la torture ... Quoique venant de lui plus rien ou presque ne l’étonnait. Ce type ! Ce sale c.... Oni' s’arrêta de penser de manière si négative quand sa tête lui lança une énième fois , le sang coulant toujours . Bordel ! Qu'es qu'elle pouvait faire ? Il .. Qu'es qu'il faisait actuellement ? Elle l'ignorait complètement. Par contre elle se sentit tiré pour être relevé . Hein ? Elle déliré tant que ça ? Pourquoi l'autre blond l'aurait aidé ?? Apres tout , tout a l'heure . Ils se disputaient ... Enfin ce n'était pas vraiment une dispute juste ... Juste quoi d'ailleurs ? Comme ça pour la forme ? Non elle ne le connaissait pas ... Enfin pas assez ! Qu'es qu'il lui disait ? Si elle pouvait quoi ? Marcher et évité de cracher du sang ? Il rigolait ? Elle n'était pas sucre tout de même ! Oniko se dégagea , ce type croyait vraiment que l'autre allait les laisser partir comme ça ? Il devait arrêter les dessins-animés ! La vie n'est vraiment facile ..... Oni' ignora sa tête et la douleur de son ventre qui se chargeait de lui rappeler que elle ne pouvait pas coller un grand poing dans le visage de cet abrutis !
Même si elle mourrait d'envie , de lui rendre ces coups aux doubles , aux triples voir plus ! Laissant échapper un grognement , elle répondit d'une voix "légèrement" énervée toute en réfléchissant si il y avait une autre solution que de partir la queue entre les jambes , ce qui au passage l'agacer profondément, :
- Tu me prends pour qui ? Je peut marcher !
En plus , si elle partait : elle abandonnerais son arme a ce type ! C'était juste impossible !! Elle y tenait beaucoup ! C'était quelques chose d'avoir son premier sabre ...Le père du blondinet n'eut pas vraiment l'air content de voir ses "défouloirs ? " partir en emportant son fils , ce qui était logique . Enfin d'une certaine façon du moins ...
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Zach Keiner
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MessageSujet: Re: Un quartier ,deux personnes, et une arme ! Un quartier ,deux personnes, et une arme !  EmptyMar 5 Fév - 16:36

  • J'ai mal. Mal partout. La tête me tourne. J'ai comme des vertiges. Le coup avait été violent. Mon souffle est coupé. J'essaie de respirer. En vain. Je me sens paniquer. Puis, en y réfléchissant bien, j'arrive à me calmer. Si je panique, je risque de respirer rapidement, or, cela ne fera qu'aggraver les choses. Je ferme les yeux un instant, tentant de me calmer au mieux. J'y parviens. Mais j'ai mal à chaque inspiration. Cela va passer. En effet, au bout d'un moment, je ne sentais plus rien. Rien, mis à part le goût âcre du sang me reste dans la bouche. Cela me donne envie de vomir. Mais ce n'était pas le moment. Je ne devais pas faiblir. Je ne devais pas encore être un poids. Cette jeune inconnue est blessée par ma faute. Et mon père tient, avec lui, le sabre de la fille. On ne pourra pas le récupérer à nous trois. Je suis faible. La fille à terre l'est aussi sans son sabre on dirait. Quant au grand blond, je ne saurai dire qui il est. Du moins, s'il est fort ou non. Mais il serait le seul à combattre mon ascendant. Je relève la tête vers l'inconnu. Il semble pensif. Non pas ailleurs, ni sur un nuage, mais concentré. Il réfléchit ?
    J'essaie de me relever. Mes côtes me font très mal. Je porte une main jusqu'à l'endroit à peu près précis où se situe ma douleur. Je n'appuie pas. J'essaie de masser. En vain. Cela me lance vraiment. Je grimace. Il avait vraiment une bonne droite. On peut finir par se demander si c'est vraiment mon père. On ne se ressemble pas. Nous sommes si différent. Autant pour le physique que notre mentalité. Il est si sombre. Si froid. Si méchant. Si grand et si fort. Enfin, cela, c'était devant moi. Après, devant ses collègues, et ses amis, c'est un autre homme. Gentil, attentionné. Enfin, c'est ce qu'ils disent. Ce que j'entends. Mais ils ne savent pas qui il est réellement. Seuls ma mère et moi le savions. Et maintenant, voilà deux personnes de plus qui sont au courant. Heureusement qu'il n'habite pas ici, sinon, il aurait dû réduire les inconnus en bouillis.
    J'entends des mots. Tout est encore un peu confus autour de moi. Mais je devine que c'est le jeune homme qui parle. Enfin, parler est un bien grand mot. Je dirai plutôt hurler. Je sais que, s'il continue, il risque de prendre cher. J'aurai voulu l'arrêter, mais, alors que j'essaie à nouveau de me lever, la douleur me lance de plus belle et je retombe au sol. Je ne crache pas de sang. Mais j'ai du mal à respirer convenablement. Et lorsque je m'appuie sur un de mes pieds, cela me lance horriblement. Je pense que mon père a du me fêler une côte. Je gémis. Je devine que je ne pourrai pas courir si l'on a à fuir. Se fêler une côte, c'est faire une croix sur la course pendant un moment. Un éclair noir passe devant mes yeux. Mon père qui fonce droit sur l'inconnu. A nouveau, je gémis. Ma voix est bloquée dans ma gorge. Je ne peux que faire des bruits primitifs. Mais le blond esquive tout. Et, à ma grande surprise, donne un violent coup de pieds bien pensé. Il se tourne vers nous, et nous adresse la parole. J'essaie de me relever. J'y parviens cette fois. Mais je grimace en posant le pieds droit à terre. C'est le côté où il semblerait que j'ai une côté fêlée. Une main sur ma douleur, tentant de la calmer plus qu'autre chose, j'essaie d'avancer. Mais ces petits pas ne vont pas me mener bien loin. Je regarde le jeune homme et j'hoche la tête :

    « Nous ne sommes pas obligé de nous réfugier chez toi, tu sais ? Il suffit de trouver un endroit sûr. Et, je serai dans l'impossibilité de courir, mais je peux marcher un peu, dis-je pour ne pas faire trop cliché. Ou trottiner en boitant. Désolée... »

    J'avance de quelques pas, histoire de m'habituer à marcher. Et je regarde les deux jeunes personnes, sans trop savoir quoi faire. Je n'ai pas besoin de parler. Mon regard le fait pour moi ; Que fait-on maintenant ?
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