J'avais un pincement au coeur en laissant ce jeune homme seul chez moi. ais bon je n'ai pas le choix. Il faut que je sois à l'heure en plus j'ai pas beaucoup dormis cette nuit Le pauvres. Pour lui aussi ça va êtres dur.

Je prend ma voiture pour allé au travail. Et oui, derrière cette immeuble tout moisis se trouve une BMW noire couper sport. Un petit bijoux. On peut dire que j'en cache des choses. Je ne veut pas arriver à mon lieu de travail comme un moins que rien. Je suis riche et je ne veux pas faire mauvais impression.

Je suis d'accord pour faire des économies mais ma voiture c'est MA voiture. J'aime conduire. Je conduit depuis que j'ai l’age de seize ans vus que j'ai vécus en Amérique. J'attire le regard des autres mais quand bien même. J'ai pas de compte à leur rendre. Même si se quartier et un quartier où le vole et quelque chose vécus au quotidien ma voiture n'a rien eu. Pas de tentative rien du tout. Jusqu'à ce que un des voisin me raconte qu'il y a une légende urbaine qui dit que une voiture de riche est dans les parages et qu'ils croit tellement rêvé qu'il ne veulent pas y toucher de peur qu'elle disparaisse. Quand j'ai entendus ça je me suis demandé où ils ont peut trouver autant d'imagination. J'étais pliés de rire. Mais au moins j'avais pas trop de soucis à me faire pour ma voiture.

Quand je fus enfin arriver à mon nouveau lieu de travail. Je descend de ma voiture. Il n'y avait pas grand monde. Je me dirige devant la porte d'entrés. Et voit une jeune femme assez jeunes qui me fait visiter le lycée.

Je suis dans ce lycée en tant que remplaçant d'un professeur d'anglais qui à d'eu prendre sa retraite prématurément suite à une maladie. Et donc je la remplace. Je suis un remplaçant à temps indéterminé. Autrement dit je ne sais pas quand mon contrat prendra fin. Et certainement jamais, du moins jusqu'à ma propre retraite. Quand la visite fûs terminer on m'amène à la salle des professeurs où il y avait un peu plus au fond, dans un coins un peu reculé de la salle la vice principale du Lycée qui me souhaite la bienvenu parmi eux et qu'elle était désolé car la principale et occuper et ne revenais pas dans le lycée avant un très long moment.

C'est le comble votre employeur qui ne vous souhaite même pas la bienvenus en ses lieu. D'un coté je comprend je sais se que veux dire" les affaires sont les affaires". Je la connais que trop bien cette phrase. Mon père travaille dans les bourses et autres investissement financier. Quand à ma mère, elle était avocate. Alors bon on peut dire que je suis habitué au personnes dit "occuper".

Bien. Quand je pris place sur mon bureau administré et que je déballe quelque affaire. Je prépare quelque cours quand enfin la cloche sonna. Je me lève pour me diriger vers ma salle de classe. Des nouveaux élèves pour moi. Je vais bien m'amuser moi.

Quand j'allais prendre la poignée de la porte pour l'ouvrir une angoisse vient. C'est normale, rencontré de nouveaux élèves c'est normale. Mais pas que parmi ses élèves se trouve une personnes en particulier qui à non seulement dormis chez moi mais aussi ma vus pleuré et que j'ai vus pleuré et que j'ai soigné comme je pouvais. Mais bon peu-êtres qu'il ne me reconnaîtrais pas et là je vais avoir de la chance.

Je respire un bon coup. Je prend mon courage à deux mains et rentre dans la salle. Les élèves sont tous au fond de la salle à part un dont la couleur de cheveux m'est familières. Mais pourquoi lui ? D'un coté je ne suis pas trop étonnés.

Je me mes derrières le bureau, je lève la tête et dit avec assurance :
"Good morning everyone ! I'm yours new teacher. My name is Mister Valentine. Nice to meet you."

Je vois la tête de mon jeunes chat égaré me faire une tête surprise. Et oui ! SURPRISE ! Et là il tombe de sa chaise. Le pauvres. Je me penche de mon bureau pour voir comment il va puis lui dit avec calme :
"Be quiet please ! Are you OK ? You worries me."

Désolé. Tu as dormis chez ton nouveau professeur d'anglais Zach Keiner.

Le cours continua sans accroche. Les élèves ont un peu participé et surtout les filles qui m'ont posé des question indiscret. Bien tenté mais ça ne marchera pas. Quand le cours fût finis les élèves sorte de la classe.

Quand il m'appela par :mon prénom je ne réagis pas. Du moins je le cache pour faire croire au autres que je ne suis pas celui su'il croit. Et que je ne savais pas qu'il m'appelais mais qu'il faisait un lapsus. Je m'excuse Zach que tu prenne toute ses moquerie. mais je suis professeurs et j'ai des règles stricte. Mais je peut y faire abstraction car je ne veut pas le perdre.

Son discours ne sonnais pas correctement. À vrais dire j'entendais son discours mais son visage me disais tout le contraire. Le vouvoiement qu'il utilise m'énerve. Je l'écoute. Puis je le vois partir de la salle. Je l'attrape par le bras et lui dit :
"Tu as finis de parlé ? Maintenant à mon tour de parler Blondi. Je t'ai écouté et bizarrement ton discours me fait transparaître le contraire de se que tu me dit. Est-ce exact ? Oui en effet je suis ton professeur et ça je le sais depuis hier soire quand je t'ai récupérer sur le trottoir devant chez moi. D'un coté c'est pour ça que je t'ai secourus. Parce que je suis un professeur qui protège ses élèves. C'est mon travail. Du moins c'était une excuse. Aujourd'hui j'ai crus que tu n'allais pas me reconnaître a cause de ma tenue vestimentaire. Mais je t'ai sous-estimer. Sorry. Mais je suis professeur que dans le l'enceinte du lycée. Sinon je suis avant tout une êtres humain. Un homme tout ce qu'il y a de plus ordinaire comme ce que tu as peut le voire. Mais je ne veut pas te perdre. Tu es un ami pour moi qui m'est très important. Je t'ai vus dans une mauvaise situation et quand j'ai vus "ça" j'ai eu des envi de meurtres. Sache le. Si tu n'as aucun endroit où allé reste chez moi.

Je lui prend la main lui pose la clés dans la pomme et la referme avec mon autres main :

Quand on dépasse le portail tu n'es plus un élève et moi je ne suis plus ton professeur mais amis. Tu comprend ? J'y avais déjà penser quand je t'ai dit que nous sommes maintenant amis. Je savais déjà les risque que j'encours mais cela m'est égale. Je ne te laisserais pas partir. Et si je dois t'enfermer dans une cage je le ferais crois moi. Alors s'il te plait quand nous sommes que tout les deux ne me vouvoie pas mais parle moi. Et ne t'en fait pas pour le reste. Reste toi même. Je ne te juge pas et tu le sais D'accord Zach ?"

Oui ce gamin ma rendus beaucoup moins froid. Il me donne de la chaleur. Je ne sais pas si cela est réciproque mais moi cette chaleur je ne peut plus m'en passer. C'est devenus une drogue aujourd'hui. Et il n'en ai pas question que je sois en manque? J'en ai manqué pendant un an. Maintenant je ne fais plus marche arrière.

"Je me disais dans ma tête :
"Ne pars pas Zach. J'ai besoins de toi."

Je vis mon élève devenir faible petit à petit. Il s'approche de moi et enfin me dit ce mot : "merci." et il s'écroule. Je le rattrape de justesse.
Il voulait vraiment pas raté son premier jours de cours alors que hier il avait une fièvre de cheval. Je le savait. Il aurait d'eu rester chez moi le temps qu'il aille mieux. Inconscient. Il faut que j'appel l'infirmière. Elle va pouvoir faire quelque chose. Mas je ne veux pas le laisser seul. Que faire ?

Mais je crois qu'il me reste quelque médicament dans le sac. J'ai toujours des médicament sur moi. La galère. Je peut pas faire ce que je veux. Je suis son professeur ! Je n'ai pas le droit d'agir comme je veux. L'infirmière pourra surement faire quelque choses.

Bon Vincent réfléchit réfléchit. Je le dépose délicatement Zach au sol.et je vais prendre mon manteau pour lui faire un oreillée le temps que j'aille cherché l'infirmière. Je me dirige vers la porte quand tout à coup j'ai un flash. Il m'avait dit que celui qui a fait ces blessures sur son dos qu'il ne voulais pas que l'on voit à été fait par la personne qui aimé cette personnes qui leur est chère. Ce serait son père ou sa mère qui lui aurait infligé ça ? Ces blessure là ? À ça progéniture ? L'être humain ne sait pas la chance qu'il a. Lui au moins il a eu un enfant. Un fils qui ne demande pas grand chose, juste de l'amour. Lui faire ce traitement. Mais j’aurais tout donnée de moi ! j’aurais remué ciel et terre pour avoir l'enfant que j’aurais d'eu avoir et qui m'a été enlever si cruellement !

Si j'appel l'infirmière elle va voire l'état de son dos et là dans tout les cas on pourras peut-être m'accusé de l'avoir frapper et là je suis rayé de la liste des enseignant à jamais et en plus qu'il ne veut pas qu'ils soient vus, et en plus ils vont appelé son père. Celui qui est la cause du fait que je le retrouve devant mon chez moi et qui lui a infligé ça.

L'option d'appelé l'infirmière et rayé de la liste. Il ne me reste qu'une seul chose. Resté avec lui jusqu'à ce qu'il aille mieux et là il faut que personnes ne nous voit. Je suis toujours devant la porte. Je baisse légèrement ma main pour atteindre le verrous et le fermer.à clé. Je reviens vers mon malade et je regarde ce qu'il y a dans mon sac. Qu'est que j'ai. Je fouille je fouille et là je vois en faite tout ce qui me faut. Des compresse froide et des médicament et même une bouteille d'eau. C'est parfait. Je lui applique la compresse froide sur son front qui est brûlant. mais le problème c'est pour pouvoir lui faire avalé les cacher. C'est mon élève mais aussi mon ami. Je ne vais pas faire ce que je pense devoir faire ! Bon d'un coté comme on dit : situation désespérer moyen désespérer.
Je prend les cachés nécessaire et les croque afin d'avoir une sorte de pâte. je prend un peu d'eau que je mélange dans la bouche et lui administre les caché par bouche à bouche.

On ne peut pas dire que c'était un baiser mais un geste qui peut lui sauvé la vie et il a intérêt à me remercier après ça.

Voilà une chose de fait. Il se réveille. J'ai eu si peur. Mais bon maintenant il y a un problème encore plus important. Il va falloir qu'il se repose car je ne pense pas qu'il puisse continuer ça journée ainsi. Mais si j'en informe l'infirmière je vais avoir quelque problème. Mais j'ai quand même une idée.

Je dit à Zach doucement :
"Tu peut te relever ? Je vais te ramener chez moi. Mais d'abord tu vas devoir un peu jouer la comédie. Je vais te porté sur mon dos et toi tu vas faire comme si tu était inconscient et que tu ne peut plus rien faire et que je suis le seul capable de prendre les décisions pour toi. Et après sa je vais lui dire que je te ramène chez toi mais c'est chez moi que je t'amène. Je vais trouvé le stratagème fait moi confiance."

Je le prend sur mon dos. Doucement. Il est léger comme une plume comme la dernière fois quand je l'ai amener pour la première fois à mon appartement. Je ne peut pas lui laisser le temps de donner une réponse. Il faut agir vite.

Les emplois du temps des professeur sont très spéciaux. Pour ma part ce jour là je n'ai que une seule heure de cours et dans d'autres jours j'ai un emplois du temps réglés à la minute près tellement je suis occuper. Je me dirige à l'infirmerie. Zach est encore faible ça va le faire je pense. J'ouvre la porte et vois l'infirmière. Je lui dit que j'ai finis ma journée de cours et que je ramène cet élève chez lui mais qu'il me faut son adresse.

L'infirmière enchanté par mon regard bleu glacial me donna les information que je demandais sans broncher. Combien de fois j'ai remercier mes gènes ! L'infirmière m'aida à prendre les affaire de Zach et les mien pour les amener à ma voiture. Elle était bouche bais quand elle vis ma voiture. Mais bon moi j'étais plutôt presser. Alors je dépose le corps de Zach sur le siège passager. Et je pris le reste des affaire pour les mettre dans le coffre. Je me dépêche vite vite de rentré chez moi.

Je gare ma voiture à son emplacement habituelle. Je prend mon amis sur mon dos et monte jusqu'à mon appartement. Il était bouillant de fièvre. J'ouvre la porte de mon appartement et l'amène dans ma chambre pour le coucher sur mon lit. Le canapé est une mauvaise idée vus l'état de son dos. Quand je l'ai mis enfin sous la couette je suis redescendus vite pour récupérer le reste des affaire dans le coffre et les ramènes à l'appartement. Je dépose toute les affaires dans le salon.

J'enlève mes lunettes et je prend quelque vêtements pour me changer. Le costume n'est pas pratique si on veut être libre de ses mouvements. Je me met un jeans et un sweet-shirt. Une envi de sommeille me pris tout d'un coup. C'est vrais que j'ai pas beaucoup dormis cette nuit. Je voulais me coucher sur le canapé du salon mais je suis vider. Je m'écroule dans mon lit à coter de Zach et vient dans les bras de Morphée.

Je suis tellement fatigué. Mais pourtant je dois faire certaines choses. En premier je vais prévenir le lycée pour leur faire par de l'absence de Zach. Car il n'est pas question que je le lâche dans la nature pour qui lui arrive quelque choses. J'en prend la responsabilité. J'essais de me relever quand je sentis une sorte de grosseur. Je l'entendis gémir, certainement d'eu au sommeille et là je vis Zach changer de position très vite mais je peut voire son visage rougir voilement. Ne me dite pas que c'est ce que je crois ! Cette grosseur c'est... Vus son age c'est normale d'êtres comme ça. C'est la nature. Mais le plus souvent à son age et qu'on a ça c'est quand on est sensible à quelque choses émotionnellemant parlant. Et non une envi de couché. Après tout je ne suis pas dans ça tête. Pour l'instant j'ai de quoi faire là. On en reparlera plus tard.

Je me lève difficilement. En premier je dois appeler le lycée pour Zach. Je vais essayé de me faire passer pour son père. Mais pour celà il faut que je change de téléphone pour qu'on se doute qu'il est chez moi et non chez son père.Je vais voire mon voisin de palier et lui demande son téléphone car j'ai cassé mon téléphone et que je dois le remplacer. Il ne dit rien et me le passe.

"Bonjour :
-Bonjour je suis le père de Zach Keiner. Dis-je avec une voix plus grave qu'a l'habituelle.
-Oui monsieur. Que puis-je faire pour vous ?
-Ce serait pour vous faire par que monsieur Valentine à ramener Zach il ma demander de vous appeler pour vous dire qu'il est à la maison.
-Ah très bien va-t il revenir au lycée demain ?
-Je ne pense pas il ne va pas pouvoir allé au lycée avant une bonne semaine madame.
-Bien. Son absence est noté. Merci de m'avoir prévenus. Au revoir monsieur.
Au revoir."

Une chose de fait une. Je reviens chez le voisin et lui rend son téléphone. Je reviens à mon appartement Et cette fois ci je prend mon téléphone et appel le lycée pour leur dire que je ne pourrais pas revenir pendant une semaine pour cause familiale. Que je venais d'apprendre la port d'un proche.
La standardiste compatis à ma "douleur " Et me dit que mon absence a été marqué. Et voilà. Une deuxième de faite deux !

Maintenant je vais allée dans les bras de Morphée tout comme ma boule de poile blonde qui est maintenant fort endormi. Une semaine pour nous tout seul. C'est bien non ?