• Nom :Valentine • Prénom :Vincent • Âge :27 ans • Sexe :Masculin • Profession : Professeur d'anglais. • Statut de l'étudiant :/ • Objet fétiche :Mon violon, le piano de ma défunte femme et mon arc avec mes flèches fait de bambou. • Rang Personnalisé :My sweetheart

Je viens d'une famille plutôt aisé. Même riche je dirais. Mais parents et moi même sommes américain qui sont des amoureux du Japon. J'ai beaucoup déménager. De la Californie en passant par le Texas ou e,cor en Arizona mais c'est déménagement ont été fait quand j'étais adolescent mais malgré ces déménagements je passé quand même mes vacances au Japon : Tokyo, Kyoto en passant par Sapporo.
Oui j'ai des parents riche car dans chacune des destination que j'ai cité mes parents y ont acheté des villas.

D'ailleurs un beau jour alors que je 'ennuyais dans la villas de mes parents. Un majordome est venus me « distraire » si vous voyez ce que je veux dire. En bref quand j'étais adolescent j'étais un petit gosse de riche qui a perdus sa virginité très jeune (avec mon professeur de musique qui était une femme magnifique). Qui avait une libido incontrôlable.

Quand je suis passé en faculté supérieure. J'ai choisis de faire professeur d'anglais au Japon. J'ai quitté définitivement les États-Unis. Et ce fût au Japon que j'ai découvert ma dulcinée. Avec qui je vais me marier 1 an après notre rencontre et qui est tombé enceinte par la suite de notre mariage.
J'étais avec des amis de la fac. Nous fêtions la fin de os partiel. Alors que les vers de bière s’enchaînaient, j'eu remarqué un femme. Elle ma captivé malgré mon ivresse. Elle était belle. Une crinière long et ondulées d'un noire ébène tout comme ses yeux. Une Japonaise dans toute sa splendeur. Elle était gentille et très intelligente. Et surtout une grande joueuse de piano. Ce que je su après avoir fais plus ample connaissance autours d'un petit vers et de dîner romantique. Et oui je n'y allais pas de main morte sur le romantisme. Tout cela pour dire que à chaque fois que je retrais à la maison elle me jouais un morceau . Chaque jour elle me jouais un morceau différant.
Quand j’ai appris qu'elle était enceinte je me suis vite dépêcher de construire une maison pour accueillir notre enfant. Mais hélas Dieu était cruelle. Très cruelle. Alors qu'il pleuvait d'une pluie battante alors que ma bien aimer devais déjà être à la maison puisqu'elle avait finis son travail. Mais elle n'étais toujours pas là.
Alors pris d'une panique j'appelle à son travail. Ce fût un de ses collègue que j'ai eu au téléphone qui me disais qu'elle était déjà partis et ceux depuis plus d'une heur. La maison se trouvais à une demi-heure de son travail.
J'appelle son portable elle ne décrochait pas. « Où est ma femme ? »Pensais-je.

Des heures et des heures passèrent. Rien. Une angoisse mi pris de cours Mon estomac me faisait souffrir le martyre. Et mes larmes ne s’arrêtait pas. Je me suis imaginais la scène : ma femme morte t mon enfant avait été extrais du ventre de ma bien aimer. Je pris le téléphone et appel la police. Mais il fallait que j'attende 72 heures pour dire qu ma femme avait disparue. C'était un supplice. Je voulais que l'on m'achève. Alors je pris un croyais et je pris ma voiture pour faire le tour de la ville à la recherche de ma bien aimer. C'est alors que quelque amis sont venus à mon secours. Il est vrais que le policier était aussi un bon ami à moi et il connaissait aussi mes amis. Alors quand ils ont su ils sont venus a mon secours. Après trois jour de recherche pas trace de ma femme. Je pouvais enfin dire que ma femme à disparus. Mais je e sentais de plus de plus mal. Ma moitié me manquais terriblement. Et surtout mon enfant qui n'avait toujours pas vus le monde m'avais été enlevé ! Les jours passèrent et mes amis se retirais de la recherche car pour eux elle était morte. Mais moi j'avais encore espoir. Même si j'étais a bout de force je me devais de continuer. De toute façon je ne trouvais pas le sommeille.

Un jour j'entendis la sonnerie de mon téléphone portable retentir. Je regarde mon écrans et vois un numéro de téléphone qui n'étais pas répertorié dans mon carnet de contacte. Je décroche :
« Allô ?
-Bonjour, vous êtes Vincent Valentine ?
-Oui c'est moi-même ? Vous êtes ?
-Je suis désolé monsieur c'est la morgue.
-La morgue ? Un angoisse croisant me pie la gorge et m'étrangla la gorge
-Oui monsieur. Je sais que c'est mauvais de dire ce genre e choses au téléphone mais nous avons retrouver le corps de votre femme et celui d'un fœtus tout proche d'elle nous supposons que c'est son enfant..
Je ne dit plus rien. Les larmes tombèrent à flots. Je dt entre deux hoc-té :
-Où dois-je allé ? »
J'ai sauté das la voiture direction la morgue. Et en effet 'était ma femme et le fœtus était mon enfant qui avait était extrais du ventre de ma femme.pour ensuite s'être fait violé puis étranglé pour enfin laisser le corps béat dans une ruelle sombres et que ce soit une catin qui l'est retrouver.

Deux ans plus tard :

Depuis ce jours j'ai repris ma vie en main enfin du moins d'une certaine manière. Il a fallu que je prenne une année sabbatique pour faire une psychanalyse mais bon on ne peut pas dire que je suis resté comme avant. Après ma cure je me suis remis à travaillé. Mais je ne suis plus le même qu'avant. Mon caractère à changer et même mon physique. Je ne rit plus, je ne souris plus. T j'ai toujours les images de ma femme et de on enfant. La blessure et là. Toujours présente e toujours béante. Mais je dois allée de l'avant.

Un beau jours j'ai vus une annonce qui disais de chercher un professeur d'anglais dans une école qui a pour spécialité la musique

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